This is serious shit
Je vous ai déjà averti sur le sujet, les chats vous rendent con.
Cette récente présentation de Kevin Slavin au Eyeo Festival revient sur le problème :
Je vous ai déjà averti sur le sujet, les chats vous rendent con.
Cette récente présentation de Kevin Slavin au Eyeo Festival revient sur le problème :
Les prières de rue sont une inacceptable occupation de l’espace public. Ramadan, ou pas.
#OhWait!
Ces zèbres ne sont pas tournés en direction de la Mecque ?
[On m’a expliqué sur Twitter qu’il s’agissait de larves d’homophobes sur le point d’éclore… Ça fait peur. Ils se reproduisent donc ?]
La rue est à tout le monde.
Dans “espace public” il y a “public”.
Il ne s’agit pas de faire l’Inquisition à l’envers.
Ils me font penser à ces petits poissons en plastique translucide avec un capuchon rouge qui contiennent la sauce dans les boîtes de 6, 8 ou 12 sushis qu’on trouve chez Picard. Je crois que c’est de la sauce soja.
Oui, oui, je confirme, c’est le petit flacon de sauce soja. :-)
@Nicolas : « Dans “espace public” il y a “public”. » Exactement, c’est bien pour ça que l’on ne peut pas faire tout et n’importe quoi dans l’espace public. Comme faire des partouzes par exemple.
Laurent,
Ah, mais en France, et dans bien d’autres pays, on a le droit de s’embrasser dans la rue, et on le fait. Alors un poids deux mesures ?
Partouzer dans la rue est autorisé en France, tout comme prier dans la rue. Et interdire la partouze publique me choquerait tout autant qu’interdire la prière publique.
Mettons tout le monde d’accord. Je prône la partouze-prière publique. À la mode de ce cher Raspoutine.
@Nicolas B. : déjà, vous vous voulez me redéfinir le voile, maintenant la partouze… Non, partouzer dans la rue n’est pas autorisé pas en France, ni ailleurs.
Code pénal :
Article 222-32
L’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d’un an d’emprisonnement et de 15000 euros d’amende.
La partouze semble donc interdite, sauf subtilité juridique qui m’échappe.
Laurent et JMU, la subtilité juridique qui vous échappe, c’est le délit d’exhibition sexuelle en droit pénal français.
L’exhibition sexuelle, c’est l’action de s’exhiber à poil, à destination de quelqu’un, dans l’intention de se montrer. Il faut que ce soit actif et volontaire. Et c’est un délit si c’est imposé à la vue d’autrui.
Par exemple, se promener à poil sur son balcon ne constitue pas une exhibition sexuelle — encore heureux.
Faire l’amour dans la forêt pour choquer les promeneurs du dimanche, cela constitue le délit d’exhibition sexuelle.
Faire l’amour dans la forêt en se fichant de savoir s’il y a d’autres gens, ce n’est pas un délit en France.
On confond souvent, comme vous semblez le faire, avec l’« attentat à la pudeur », qui, lui, n’est plus un délit en France depuis le nouveau code pénal de 1980.
L’outrage public à la pudeur a été remplacé par le le délit d’exhibition sexuelle le 1er mars 1994.
L’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d’un an d’emprisonnement et de 15000 euros d’amende. [CP 222-32.]
Le fait de partouzer dans une rue constitue un délit d’exhibition sexuelle, pour la raison que la rue n’offre pas les garanties d’intimité souhaitables, et n’est donc pas autorisé.
Si vous ne prenez aucune disposition particulière pour “dissimuler à la vue d’éventuels tiers l’acte obscène”, le juge du tribunal correctionnel estimera à coup sûr que l’infraction est caractérisée.
Donc, “faire l’amour dans la forêt en se fichant de savoir s’il y a d’autres gens” est constitutif d’un délit.
Quant à être nu sur votre balcon, si vous êtes sûr et certain de n’être visible de personne, cela ne pose aucun problème.
L’article 222-32 qui réprime « l’exhibition sexuelle », correspond à l’actuel article 330 relatif à l’outrage public à la pudeur. L’incrimination a été formulée de manière à écarter toute possibilité de poursuites à l’encontre de personnes se livrant au naturisme dans des lieux spécialement aménagés à cet effet. Le texte précise en effet que pour être répréhensible, l’exhibition sexuelle doit avoir été « imposée à la vue d’autrui ». Cette précision ne signifie toutefois pas que l’infraction ne saurait être constituée que lorsqu’un tiers a effectivement été témoin de l’exhibition. Il suffit en effet que cette exhibition soit réalisée en un lieu accessible aux regards du public et dans lequel une personne non-consentante est susceptible de l’apercevoir (ce qui n’est pas le cas dans un lieu où se trouvent des naturistes). Au demeurant, l’infraction ne peut en pratique être poursuivie que si elle a été constatée par un agent verbalisateur, à la vue duquel l’exhibition a donc été imposée.” [Circulaire du 14 mai 1994.]
This could be the most interesting comment I’ve seen about the recently announced Movable Type license changes.
Obliger les futurs citoyens canadiens à prêter serment à la Reine est discriminatoire et constitue une violation de leurs droits constitutionnels, feront valoir trois résidents permanents, vendredi, devant la Cour supérieure de l’Ontario.
Ils rejettent le serment pour des raisons religieuses ou des principes personnels. Selon eux, prêter allégeance au Canada suffit.
La Loi sur la citoyenneté demande au candidat de jurer ou d’affirmer qu’il sera « fidèle et de porter sincère allégeance à Sa Majesté la reine Elizabeth II, Reine du Canada, à ses héritiers et successeurs ».
Les demandeurs avancent qu’en raison de leurs croyances, protégées par la Constitution, le serment est un obstacle à profiter des droits de la citoyenneté tels que voter et obtenir un passeport canadien.
Les gens qui naissent au Canada ou ailleurs dans le monde de parents canadiens sont automatiquement citoyens et n’ont pas à prêter serment.
L’un des demandeurs, Michael McAteer, 79 ans, vit au Canada depuis près de 50 ans.
« Prêter serment à une monarchie héréditaire basée à l’extérieur du pays violerait ma conscience, trahirait mon héritage républicain et entraverait mes efforts à mettre fin à la monarchie du Canada », affirme l’Irlandais d’origine dans sa déclaration.
Pour sa part, le gouvernement argumente que, depuis les débuts de la Confédération, le serment à la Reine est une condition pour faire partie de la collectivité canadienne. […]
La Presse Canadienne : “Prêter serment à la Reine, discriminatoire selon de futurs citoyens”.
Ce serment à la Reine est le principal obstacle à ma demande de citoyenneté canadienne. Mais je ne doute pas que, tôt, ou un peu plus tard, le Canada basculera soudainement dans le XXIe siècle.
Et pourtant tu lui mets une majuscule, à la reine ? Curieux.
La même controverse se pose depuis quelques années au Royaume-Uni, face à… une certaine Elisabeth II, record mondial du cumul des mandats.
Ça risque d’être plus tard que tôt si l’abolition de ce serment demande un quelconque amendement constitutionnel. Et comme le serment d’allégeance a eu un rôle majeur dans l’histoire de notre colonie c’est pas gagné. D’ailleurs le refus de porter allégeance a été le prétexte de la déportation des acadiens en 1755. Sinon possible de se consoler en pensant qu’en tant que souveraine de la Papouasie-Nouvelle-Guinée elle est donc reine des papous. Ça fait moins sérieux. On peut préférer son titre de reine des Tuvalu aussi.
C’est d’autant plus idiot que sans la citoyenneté tu ne peux pas t’absenter du Canada pendant plusieurs années. Je me demande comment font les argentins pour le coup.
Qu’est ce qu’elle prend ? elle a l’air “high”
Je vais faire mon anarchiste, mais serment à la (r/R)eine ou à la patrie, pour moi c’est kif-kif : du nationalisme à deux balles pour préparer la chair à canon à aller faire les croisades / la guerre contre l’axe du mal / laisser passer tous les projets de loi tant qu’il y a “contre le terrorisme” dans le titre.
Mais bon. Passons, en supposant l’idée d’un serment à la patrie acquise, c’est quoi la différence entre prêter serment à une entité immatérielle ou à sa représentation physique, fût-elle étrangère et sans réel pouvoir sur le pays ?
J’aime bien le côté Cochonou®™ de la photo, encore que je ne suis pas certain que cette maison produise de la saucisse. Aux abris, l’héritière va décoffrer le polichinelle.
JMU, la reine Elisabeth est une des femmes les plus puissantes de la planète. Au Canada, il me semble qu’elle nomme les gouverneurs de ces « sous-provinces » que l’on appelle « territoires ».
Tu fais ton anar, je vais faire mon chauvin. On peut adhérer à des principes, comme « Liberté, égalité, fraternité », voire aimer sa patrie, mais refuser de prêter allégeance aveugle à une personne. D’autant plus qu’on peut légitimement ne pas apprécier cette personne, ou ses idées, et ce serait dommage que l’on soit privé de droits dans un pays entier pour cela. Bref, le fond du féodalisme est toujours là : la terre appartient à un seigneur, et il t’y octroie des droits si tu te soumets à lui. Et le seigneur n’est bien sûr pas élu, mais tire son pouvoir d’une monarchie héréditaire.
La Reine n’a pas de réels pouvoirs au Canada. Les gouverneurs sont principalement symboliques et leur existence même est contestée (coûte cher et sert à rien).
@Nicolas : Ben, justement, le serment n’est pas prêté à une personne (Elizabeth), mais à la fonction (la royauté britannique). Si la reine actuelle meurt, personne ne va re-prêter serment à la suivante. Je ne vois donc pas la différence avec un serment au Gouvernement, ou au parlement, ou à la patrie - et je suppute que si le serment devait être fait à la patrie, les demandeurs n’auraient pas protesté.
Gilles
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Nicolas B.
Je n’ai pas accès au lien “les chats vous rendent con”.
“Raison : Cette catégorie Websense est filtrée : Sexualité.”
Oh, my God ! Que fait Laurent avec les chats ?
Blah ? Touitter !