Journal de bord

Un Paris Carnet calme et fort agréable hier soir.

Le plaisir de voir de nouveaux visages : je suis complètement tombé sous le charme du délicieux Dr Dave, que m’a présenté Michel V., et qui nous vient de Tokyo. Dans le registre international, nous avions également la visite de Serendipity.

Dans la catégorie geeks, Tristan est venu apporter du champagne à Olivier pour fêter la sortie de DotClear 1.2 (mais il a oublié les putes en chemin). Il y avait les deux Stéphane, numéro 1 et numéro 2, ce dernier livrant son corps à une campagne de publicité voyante (et oui, même Paris Carnet se fait envahir par la pub). François avait l’air requinqué et rajeuni.

Cyril s’est vu félicité pour son oeuvre magistrale (14,90 &euro, chez Eyrolles).

Isabelle est tombée sous le charme d’un mystérieux rouquin (cela devait être la soirée de toutes les séductions…).

Je n’ai pas eu l’occasion de WikiTroller avec Xtof.

Mr. Jérémy, très courtisé par les jolies jeunes filles en fleur, est resté très sage.

Veuve Tarquine a décidé de m’encourager dans mon vice et de s’attaquer à ma sveltesse en m’offrant un pot familial de Nutella (je suis très touché). Son confrère nous a fait faux bond.

J’ai salué Madame Kozlika qui a sans doute regretté l’absence du Petit Maudit.

Pardon à tous ceux que je n’ai pas cité.

P.S. Déclaration de Michel V. : “Mon appart, c’est un peu comme ParisCarnet finalement : y’a que des corses et des pédés !”

“Traiter les gens de cons, ce n’est pas un outrage, c’est un diagnostic.”

C’est quand même étrange les procès d’intentions que l’on peut me faire quand je dis en toute sincérité que je trouve un livre bon et utile, un livre que j’ai vraiment lu de A à Z. D’avoir à se défendre d’un soutien à un livre auprès de nombreux interlocuteurs qui voient le mal partout. Je n’ai pas toujours ménagé son auteur et je n’ai pas d’intérêt particulier à le faire.

Et non, Maia, je ne vais pas te pendre par les ovaires, il y a des supplices plus doux.