C.R.A.Z.Y.
C.R.A.Z.Y. va sortir en France le 3 mai prochain. En v.o.s.t. (si, si, je vous l’assure).
C.R.A.Z.Y. va sortir en France le 3 mai prochain. En v.o.s.t. (si, si, je vous l’assure).
Recently, Skippy summed-up quite nicely the building frustration in the WP community. Mine has been growing along a similar path and, after voicing my concerns a few times last year, I eventually decided to save me the time and energy and silently started shifting out most of my WP-related activities. Like Skippy, I take issues with the way WP development is “managed”, I also have serious concerns about the increased melting of public open-source code with semi-private interests, as reflected by the blatantly commercial marketing strategies of recent releases. Don’t get me wrong: I am not one of those open-source zealots who considers it a crime for software authors to make a dime off their work, I just do not like the way it’s done here.
On a wider scale, I guess I am getting tired of the whole “Web 2.0″ micro-bubble, the underwhelmingly banal concepts it rests on and the mix of greed and naive enthusiasm that propels it.
[Dr. Dave : “Better leave at the top of your game…”]
Via Delphine, je découvre dans un billet ce néologisme : “blog-crosseur”… Je suis bien d’accord, les blogueurs, c’est rien que des crosseurs.
Pour l’édification de certains (merci Antidote) :
Crosseur : (adj.) Qui trompe les autres ; escroc, malhonnête, indigne de confiance.
Crosseur : (n.) Personne qui trompe qqn; escroc. Personne qui perd inutilement du temps. Personne qui se masturbe.
Crosser : (v.) Masturber qqn. Tromper qqn. Se crosser. Se branler. Se faire crosser. Se faire rouler.
Et, pour rappel, Blogging is as much a conversation as masturbation is making love.
[Source.]
v. crossed, cross·ing, cross·es
v. tr.
crossing:
crossing nf traversée
crossing nf croisée (du transept)
crossing (carrefour) nm carrefour (croisement de routes)
(cf. book crossing)
Après c’est à chacun d’interprêter les choses de la façon qu’il veut, ce que je trouve dommage c’est que l’on s’attarde plus sur la forme que sur le fond !!
un crosseur est un rouspéteur, mais surtout un bécheur (dico de l’argot)
oh, maintenant je comprends un mail un peu bizarre que j’avais reçu de quelqu’un qui disait se “crosser la poche” en lisant mon blaugue…
Ah ! un autre utilisateur d’Antidote :-)
Embruns sans son “journal de bord”, ce serait un peu comme une tartiflette sans reblochon… [Pep.]
La tartiflette, on peut aussi la faire avec du vacherin ;-)
…Ou un combat de samouraï sans chatons http://www.samuraikittens.com/
Pas d’accord : c’est comme le reblochon sans tartiflette !
A ce sujet, ce grmbl de javascript commence à faire ch… la grosse faignasse que je suis. Embruns devient un véritable cliquodrome avec ce truc.
Toujours à se plaindre… Tu n’as qu’à passer par la page “embruns.net/logbook”.
Ah oui, c’est mieux ! Et je ne me plains pas toujours, parfois je me tais.
Tant qu’on y est, je continue de penser qu’il est bête d’autoriser les balises sans autoriser et >…
cossaw
Nos amis du Québec vont être heureux qu’on ait besoin de ça pour les comprendre… mais bon, il y a une sitcom qui passe sur TV5 en ce moment qui est, elle aussi, soustitrée…
Gwenaëlle
Ce n’est pas une première ! “20h17, rue Darling”, “Gaz Bar Blues” ou encore les films sélectionnés au festival “Cinéma du Québec” à Paris ont été projetés en V.O.S.T …
D’ailleurs, le réalisateur Bernard Edmond l’avait dénoncé à la Quinzaine des réalisateurs, en 2003.
Laurent
Dénoncer le fait d’être compréhensible du public ? Quel est donc ce Bernard Edmond qui se targue d’un élitisme bien mal placé ?
Patrick
Bien sûr, le sous titrage est obligatoire pour certains films de cette belle province, je ne parle pas des sitcoms, c’est encore pire… Sinon il va falloir prendre des cours du soir !
karl
C’est idiot de dénoncer ce genre de choses, d’autant plus qu’on le fait aussi en France. vost: Version Originale Sous Titrée. Au cas où certains ne comprennent pas, c’est un film qui a les sous-titres en plus de la bande son.
Ce qui serait plus intéressant de savoir, quel est le type de sous-titrage ?
Une simple recopie de ce qui est dit par les acteurs en texte. Ce qui a comme double effet de rendre le film intelligible aux sourds et aux francophones non québécois (pas seulement les maudits français).
Une traduction en français de ce qui est dit dans le film ?
J’aimerais bien passer un des DVDs que j’ai avec moi à plus d’un français et d’un québécois pour rire un peu sur le niveau de compréhension. Ce DVD s’appelle les terriens, c’est un reportage dans la campagne normande lors de l’éclipse de soleil de 1999. C’est un documentaire magnifique où les paysans du pays de Caux s’expriment avec leur patois. Ils sont sous-titré pour le plus grand bonheur du spectateur.
Martine
Dis-donc, il va falloir vous en envoyer encore combien, des chanteurs québécois, pour que vous finissiez par nous comprendre sans avoir besoin de sous-titres?
karl
Je sors de la douche, on s’en fout, mais cela me fait penser de temps en temps. Et je viens de remarquer que lorsque j’ai vêcu au Québec, je ne parlais ni québécois (juste quelques mots, expressions) mais ni français (j’atténuais mon argot et mes expressions pour être compris.)
J’ai l’exemple en ce moment depuis un mois. Olivier (français) étant mon principal interlocuteur, les expressions françaises reviennent. Un québécois est arrivé il y a un mois, je ne fais pas attention, et plein d’expressions ne passent pas.
Les Québécois ne comprennent pas les Français.
Cela marche dans les deux sens. Il est aussi difficile de comprendre d’autres personnes de la francophonie.
Laurent
Pour ce que j’ai vu, les sous-titres sont des adaptations/traductions et ne concernent pas tous les personnages, ainsi, par exemple, la voix off de Marc-André Grondin n’est pas sous-titrée. Cela illustre différents niveaux de langue et de prononciation.
STEEVE
QUE VA FAIRE CRAZY A PARIS… PUTAIN… PERSONNE NE VA COMPRENDRE C CLAIR UN PARISIEN NE COMPREND RIEN
C’est Raoul
C’est vraiment un faux débat.
Je comprends que Emond trouve ca choquant: ca place une culture ou un accent, en dela d’un autre. Comme si on devait expliquer, parce que ce serait une sous-langue. Émond en a contre ca parce que c’est toujours a sens unique, mais c’est pourtant faux: certains films francais sont aussi sous-titrés ici (au Qc). (les films de banlieue, etc.)
C’est complêtement con, ya rien de mal a donner plus d’information, a le rendre plus accessible, a un plus grand public, moins familier a l’accent (il faut accepter de faire un effort, c’est pas donner a tout le monde), et aux expressions.
xave
Hé bé, c’est pas moi, exilé en Belgique, qui vais dire le contraire.
Laurent
En parlant de Belgique, ça me rappelle les reportages de “Strip-tease” avec sous-titrage.
Gwenaëlle
Non, il ne dénoncait pas le sous-titrage pour être compréhensible du public mais les efforts d’internationalisation du vocabulaire, et les producteurs et les distributeurs, pour lesquels la piètre qualité de la langue des films québécois serait un obstacle à leur diffusion en France. Il avait également invité les spectateurs français méprisants au parlure québécoise de se reporter aux sous-titres anglais et de faire comme si le film était serbe ou chinois.
Je ne sais pas si vous remarqué cette tendance dans le cinéma Français (François Ozon, Arnoud Desplechin, etc.). Lorsqu’il y a un dialogue avec un anglophone, on ne peut pas lire de sous-titrage. Là, ça m’énerve… ;-)
Amaury
Comme si C.R.A.Z.Y. était difficile à comprendre… On reste maudit français dans notre bonne vieille France profonde ! Un Français
polluxe
c’est un faux-débat en effet ; les sous-titres permettent simplement aux français de comprendre les mots d’argot comme “tchump”…
Giovanni
Finalement, ce qu’on peut regretter, c’est que les sous-titres traduisent plutôt que de retranscire… Mis à par certains mots (fif..), on pourrait tout à fait comprendre à l’aide d’une simple retranscription.
Blah ? Touitter !