The woman slept most of the flight, but awoke about 20 minutes before landing when the pilot announced the plane was on descent into Los Angeles. When the woman opened her eyes, she saw that an unknown man had moved into the seat next to her and was staring at her as he masturbated, the suit states.
The woman turned toward the window in embarrassment and in an act of nervousness began to run her fingers through her hair where she noticed “a substantial amount of an extremely sticky substance in her hair,” the suit states.
The woman began to cry and tried to get the attention of a flight attendant, but was unsuccessful, the suit states. Finally a passenger in the row in front of the woman comforted her and verified the semen in her hair, the suit states.
[Sky Talk: “Woman files lawsuit against AMR because passenger next to her masturbated while she slept”, via MeFi.]
Il est 10 h 50 environ, ce lundi. Diam’s fait irruption dans les locaux du magazine Voici (Groupe Prisma Presse), passe derrière le comptoir, dans un état second, se rue sur le standard, l’explose à coups de poings. Les réceptionnistes sont paniquées, demandent l’intervention d’un membre de la rédaction pour contenir la jeune femme qui hurle : “Vous cassez ma carrière !”.
C’est le chef des infos qui se dévoue, il arrive dans le hall. Le voilà accueilli par Diam’s qui le colle au mur. Le rédacteur en chef, n’écoutant que son courage qui ne lui disait rien, se décide néanmoins à rejoindre les jouteurs. Quelques claques par ci, des coups de pieds par là, un coup de boule assorti de menaces lui font vite regretter cet élan de témérité : “Toi, maintenant, je connais ta tronche… je vais te retrouver !”
Mais que fait la police ?
Justement, elle arrive la police. En car, à vélo, c’est l’émeute.
“Je suis venue seule et sans garde du corps, je reviendrai” promet la chanteuse.
Une réunion se déroule bientôt dans les locaux de l’éditeur. Consigne est donnée “de ne pas ébruiter l’affaire.” Il est annoncé qu’aucune plainte ne sera déposée, les dégats seront constatés par huissier.
[Pure People: “Diam’s expédition punitive en solo dans les locaux de Voici…”]
Journaliste, un métier à risques.
Nicolas Princen, jeune normalien-HEC de 24 ans, a été chargé de la veille Internet de l’Elysée. Sa mission : surveiller la diffusion d’informations sur le chef de l’État sur la Toile. Mais à peine nommé, il est déjà lui-même victime du “buzz” autour de son poste. À lire sur le Figaro.fr, sous la plume de Samuel Laurent : « Le “cyber espion” de l’Elysée déjà star du web ».
Et aussi, France Info, David Abiker : “Nicolas embauche un autre Nicolas pour surveiller la toile”.
Je m’interroge quand même sur la nécessité de rendre publique cette nomination. Cette tâche de veille et de contre offensive se fait dans l’ombre. Pas besoin d’être connu, je dirais même presque au contraire, la “personnalisation” de cette fonction risque de nuire au contenu. Le voilà repéré, il a intérêt à être clean, parce que je sens qu’il ne lui sera fait aucun cadeau. La moindre “faute” sera mitraillée, et finalement, il pourrait passer plus de temps à se défendre qu’à mener à bien sa mission initiale. Je lui souhaite bien du plaisir. [Authueil : “Bienvenue sur la Toile”.]
J’ai crée hier soir un groupe sur Facebook “Nicolas Princen est sexy”, déjà 34 membres… :-)
Excellente question du jour. Tout le monde ne le connaît pas.
Olivier Martinez est un acteur français de second plan. Dans son pays d’origine, il fut dans la lumière des projecteurs lorsqu’il reçut le César du meilleur espoir masculin en 1994 pour “Un, deux, trois, soleil” de Bertrand Blier, et l’année suivante, lorsqu’il incarna le colonel Angelo Pardi dans “Le Hussard sur le toit” de Jean-Paul Rappeneau. Depuis, il fait carrière à Hollywood, avec des hauts et des bas.
Si Olivier Martinez est connu aujourd’hui, c’est malheureusement davantage pour sa vie personnelle que professionnelle (comme en témoigne sa fiche Wikipedia anglaise avec 3 lignes sur sa carrière et 6 sur sa vie privée). C’est le risque à assumer quand on couche avec une blonde cent fois plus célèbre que soi, en l’occurrence la chanteuse et actrice australienne Kylie Minogue.
Après 4 ans de vie commune, Olivier Martinez et Kylie Minogue se sont séparés en février 2007. Depuis, la presse tabloïd britannique et les journaux “people” font régulièrement courir le bruit d’une hypothétique rabibochage entre les deux amants, d’abord en juillet 2007, via le Sydney Daily Telegraph, puis à nouveau en février 2008, via le Daily Mail et le Sunday Mirror, après que les deux vedettes auraient été vues dînant ensemble à Paris.
Kylie Minogue a apporté un démenti formel à ces allégations : “Nous sommes restés bons amis, c’est tout. La seule personne qui fréquente mon lit est mon magnifique chien Sheba”.
Aujourd’hui, Olivier Martinez a une nouvelle occasion d’avoir un quart d’heure de gloire sur le Web, puisque c’est lui qui harcèle des blogueurs et webmestres, comme Éric Dupin de Presse Citron : “Fuzz et assignation en justice…”.
Il est reproché à Éric d’avoir laissé apparaître, dans son service “digg-like” Fuzz.fr, un lien vers un billet de blogue se faisant écho des rumeurs de rapprochement des ex-amants, bruits diffusés par un grand nombre de magazines “people” à travers le monde. Et pas moins 30 000 euros de dommages et intérêts sont demandés pour réparer l’outrage, ce qui fait cher du lien.
Le référé sera examiné jeudi prochain au TGI de Paris. Olivier Martinez est représenté par la cabinet Asmar et Assayag.
“Le 18 avril 2006, j’ai eu mon premier mort confirmé. Cet homme était innocent. Je ne connais même pas son nom. Je l’appelle ’le Gros’. Il rentrait chez lui, et je l’ai tué devant son père et ses amis. Ma première rafale ne l’a pas tué et il m’a regardé dans les yeux. Alors j’ai tiré de nouveau et je l’ai achevé.”
“Mon officier m’a personnellement félicité, tout comme mes camarades. C’est le même homme qui a promis quatre jours de permission au soldat qui tuerait le premier à l’arme blanche.”
[Rue89/Slate : “Irak, les vétérans témoignent de leur sale guerre”.]
P.S. La version originale, plus riche :
When the next image of a corpse appeared on the big screens in the hall, he continued, “On April 18, 2006, I had my first confirmed kill. Ahh. This man was innocent. I don’t know his name. I call him the Fat Man. He was walking back to his house, and I shot him in front of his friend and father. The first round didn’t kill him after I hit him up here in his neck area. And afterward he started screaming and looked right into my eyes. So I looked at my friend who I was on post with and said, ’Well, can’t let that happen.’ So I took another shot and took him out.” It took seven members of the Fat Man’s family to move his body.
After his first kill, Turner says, “My company commander personally congratulated me as he did everyone else in our company. This is the same individual who had stated that whoever gets their first kill by stabbing them to death will get a four-day pass when we return from Iraq.”
[Slate: “Vet in a Suit, Testimony from the Iraq Veterans Against the War”.]
Manu
Il peut pas faire ça dans les toilettes de l’appareil, comme tout le monde ?
Manu
Ce commentaire, sur le site indiqué, est plein de bon sens :
“Sue the airlines? Ridiculous. People change seats on flights all the time when there are empty seats and they want more room. She should sue the perpetrator, certainly, for his disgusting perverse crime, but sue the airlines because someone moved seats. Great, next thing you’ll know we won’t be able to move out of that cramped center seat when there are whole rows empty in the back for fear that we all might masturbate on some sleeping person back there. Absurd.”
GreG
’Tain, y a quand même des tarés, non seulement sur Terre, mais aussi à 10.000 m d’altitude ! Et le pire c’est que si elle était rentrée dans le lard du mec, elle se serait retrouvée avec les menottes.
Daniel Glazman
J’ai cru un instant qu’on était le 1er avril…
Dam
Question con mais sérieuse : que veux dire “the suit states” ? (non, “le costume Etats” n’est pas la bonne réponse) C’est pour dormir moins bête ce soir Merci
Laurent Gloaguen
@Dam : ça veut dire en gros “tel qu’écrit dans le texte de la plainte”.
To state: express something definitely or clearly in speech or writing.
Suit: short for lawsuit.
C’est Raoul
Comme dans la pub: “Love is in the hair”…
Eric
Les turbulences en avion ont parfois des conséquences inattendues.
Blah ? Touitter !