Journal de bord

jeudi 11 février 2010

Sauver Notre-Dame des Sodomites

2010-defense-notre-dame.

Tous les cathos ne sont pas des gros cons. Mais les plus tonitruants sur le Web en sont de vrais.

Donc, du côté des gros cons :

Dimanche 14 février à 14 h, des extrémistes homosexuels ont prévu de se rassembler juste devant Notre-Dame de Paris pour… s’embrasser sur la bouche durant 5 minutes.

Un lieu choisi au hasard ? Non, comme l’admet Arthur Vauthier, l’organisateur : « C’est une façon d’interpeller l’Église, de questionner la religion sur la question de l’amour et du mariage entre gays et entre lesbiennes ».

L’Église n’approuve pas les relations homosexuelles (qu’elle juge « désordonnées » et contraires au plan de Dieu pour l’homme) mais respecte et accueille toutes les personnes quel que soit leur comportement. Autant dire que ce « kiss in » contre l’homophobie devant la cathédrale de Paris est particulièrement malvenu.

Étrangement, les extrémistes de la cause homosexuelle ne se rassemblent pas devant la Grande mosquée de Paris. Or, c’est en pays musulmans (où s’applique la Charia) que sont exécutés des homosexuels !

En réalité, les initiateurs de ce rassemblement savent qu’ils ne risquent rien en se moquant des catholiques. On lit d’ailleurs dans Têtu qu’Arthur Vauthier « ne craint pas les réactions hostiles ».

10 mois et demi après les échauffourées provoquées par la distribution de préservatifs du PCF et des Verts sur le parvis Jean-Paul II suivie du “die in” d’Act-Up, ce rassemblement sonne comme une provocation. La provocation de trop.

Il nous fallait déjà supporter le harcèlement continuel des lobbies homos pour singer le mariage, s’en prendre à nos enfants dans les écoles (cf. l’affaire du Baiser de la lune) ou réduire notre liberté d’expression.

Ne laissons pas certains groupuscules prendre la mauvaise habitude de venir nous insulter devant nos églises. Ils seraient tentés de le faire ensuite dedans comme l’a déjà fait Act up.

Rendez-vous dimanche à Notre-Dame pour la messe de 12h45, de façon spontanée ou avec une association, pour répondre avec fermeté et courtoisie aux provocateurs !

Chrétienté.info : “Défendons Notre-Dame”.

On ne risque donc rien en se moquant des catholiques ? Heureux de l’apprendre. Et bien, nous n’allons pas nous priver…

Côté blogueur-catho-versaillais-UMP, dont la consanguinité n’a pas trop endommagé le capital de neurones, on est cependant beaucoup plus nuancé (évitez toutefois la lecture des commentaires qui peuvent être malodorants).

Bref, à supposer que l’on ressente autre chose que de l’indifférence polie envers l’agitation de dimanche prochain, que l’on veuille véritablement protester contre cette initiative, le mieux est encore l’ignorance, l’absence de réaction. En tout cas, n’y allez pas en pensant défendre l’Église.

Question choix de lieu, j’aurai plutôt pris le Sacré-Cœur… Rien que pour la vue.

Ah, mais… ? Que vois-je ? Ces pédés n’ont pas de couilles, et se replient sur Saint-Michel… C’est pourtant bandant de se bastonner avec du petit FAF !

Deux solutions s’offraient alors à nous : nous obstiner — la sécurité des participants aurait été mise en péril — ou annuler l’événement, cédant de ce fait à la peur face aux menaces de violence. Mais ces catholiques « traditionalistes », s’ils peuvent faire reculer le gouvernement en matière de lutte contre la discrimination à l’école en demandant l’interdiction du court-métrage « Le Baiser de la lune », pourront-ils dire également : « nous avons empêché les homosexuels de s’embrasser dans les lieux publics » ? Cela est inacceptable.

Nous choisissons donc une troisième voie, et appelons tous les participants à se replier sur un autre lieu, voisin du premier : la place Saint-Michel. Ainsi, nous serons en vue de la cathédrale, sans donner à nos détracteurs l’opportunité de nous taxer de provocateurs.

Et lorsque je lis :

Le kiss-in du 14 février à Paris était initialement prévu sur le parvis de Notre-Dame (qui est, puisqu’il faut le préciser, un lieu PUBLIC), et n’avait pas pour vocation d’agresser, ni même de provoquer l’Église et les catholiques.

… Je me dis que les organisateurs de ce “kiss-in” sont non seulement des pleutres, mais aussi des cons. (Ce qui nous fait dire que la connerie n’est pas un monopole catholique, les gays ont aussi le droit d’être idiots.)

1. Le 11 février 2010,
Eolas

En plus, en allant à Saint-Michel, ils se rapprochent de Saint-Nicolas du Chardonnet.

2. Le 11 février 2010,
coco

encore un grand succès de l’activisme facebook

3. Le 11 février 2010,
Koz

En ce qui concerne les commentaires, je trouve plutôt que la grande majorité est très correcte, et montre aussi qu’un certain nombre de cathos acceptent d’avoir un regard plus nuancé.

Après, je suis d’accord : même les gays peuvent être cons. Mais en l’occurrence, j’ai plus d’estime et suis plus incité à réfléchir plus avant et à dialoguer par ceux qui ne veulent pas s’en tenir à ce qui pourrait être une provocation que par ceux qui se bornent à ça. Quand on dit vouloir “interpeller l’Eglise”, ça n’a pas trop de sens : non seulement je crois qu’elle l’est déjà, mais surtout, les provocations ne suscitent que des raidissements (ouais, ouais). C’est, du coup, faire une croix d’emblée sur le dialogue. Or je ne crois pas le dialogue impossible.

Maintenant, eux disent qu’il ne s’agissait pas de cela, ce qui est appuyé par leur décision d’aller à Saint-Michel et, sincèrement, je leur en suis reconnaissant.

Je vais aller un peu plus loin dans “ma life” : un oncle de mon épouse est homosexuel, en couple depuis un certain temps. L’exemple de leur couple fait beaucoup plus pour faire évoluer mes positions (ouais, ouais) que toutes les provocations.

4. Le 11 février 2010,
Marc

Mouais…. tout cela est juste ridicule, de part et d’autre… si l’objectif c’est de se foutre sur la gueule, autant prendre un terrain vague et des barres à mines tout de suite.

5. Le 11 février 2010,
william

Les médias seront probablement là, ne laissez pas ces sacs à SIDA souiller, profaner, humilier NSJC et l’ensemble de sa Sainte Eglise !

Malgré la défection de ces crétins qui confondent action politique non-violente et flashmob, je pense qu’il y aura tout de même un kiss-in à Notre-Dame ; nous serons juste moins nombreux (et c’est dommage).

6. Le 11 février 2010,
koz

N’en venez tout de même pas à confondre les Intransigeants avec les catholiques. Pour eux le catholicisme fait juste partie de la panoplie, avec le fait d’être blanc.

7. Le 11 février 2010,
des fraises et de la tendresse

Si j’avais été à Paris (si ma tante en avait…), j’aurais quand même été embrasser un garçon sur le Parvis de Notre-Dame (avec ou sans la langue). Suis con mais je me soigne.

p.s. je lis dans le communiqué des cathos intégristes : nos enfants! et les bras m’en tombent.

8. Le 11 février 2010,
niemand
9. Le 11 février 2010,
Robin

“mais respecte et accueille toutes les personnes quel que soit leur comportement. Autant dire que ce « kiss in » contre l’homophobie devant la cathédrale de Paris est particulièrement malvenu.”

Ayant été là lors du rassemblement “préservatifs” à Notre-Dame, je ne pense pas que les baffes que nous avons reçues attestent de la tolérance de l’Eglise…

10. Le 11 février 2010,
Marc

@Robin : koz a raison, cela ne veut absolument rien dire de parler de la tolérance ou non de l’Église, comme si c’était une seule et unique entité avec des clones dedans.

L’Église, de par sa nature même est plurielle : elle se fonde sur 4 évangiles, qui disent chacun des choses différentes, à des époques différentes, avec des logiques propres.

Donc par essence même, il n’est pas possible de la réduire à une seule parole.

Comme dans chaque groupe d’un peu d’importance, il y a des extrémistes, des modérés, des conservateurs, des traditionalistes,…. donc désolé pour les baffes, mais cela ne préjuge en rien de la tolérance de l’Église, ce ne sont pas quelques groupuscules du type les Inransigeants qui peuvent avoir une revendication de représentativité de l’Église.

11. Le 11 février 2010,
william

Vous me faites rire à trier vos ordures.

En ce qui me concerne, les radicaux des groupes et des communautés auxquels je m’identifie ne me font pas honte, ils sont même source de fierté et d’inspiration (aller au hasard comme ça — et pour conjurer l’épouvantable métonymie citée plus haut qui a hanté mon esprit toute la journée — une pensée pour Clews Vellay).

12. Le 11 février 2010,
xave

Donc par essence même, il n’est pas possible de la réduire à une seule parole.

Ça me fait marrer à chaque fois, ça : le principe de base des cathos, c’est que l’Église a raison, ça s’appelle le Dogme. Et c’est même vachement drôle : la définition de l’hérésie, c’est quand tu n’es pas d’accord avec le Dogme. En affirmant qu’on peut penser différemment au sein de l’Église, tu ne respectes pas ses saints principes ; suivant la définition de ta religion, tu es donc non seulement un mauvais catholique, mais surtout un hérétique.

13. Le 11 février 2010,
Robin

C’est amusant, parce que votre message, sans ces deux derniers mots, semble tout droit sorti d’un des commentaires des sites qui appellent à aller “casser du pédé” :D

14. Le 11 février 2010,
Laurent Gloaguen

Je ne suis pas sûr que tout le monde se souvienne de Cleews Vellay.

“J’ai envie de vivre, et pas seulement pour faire chier le monde.”

15. Le 11 février 2010,
Nicolas

Marc :

L’Église, de par sa nature même est plurielle : elle se fonde sur 4 évangiles, qui disent chacun des choses différentes, à des époques différentes, avec des logiques propres.

C’est valable pour beaucoup de religions mais pas pour l’église catholique qui a un chef dont la parole est très peu contestée et un ouvrage de référence pour les fidèles, qui ne se prête pas à interprétation et qui est actualisé régulièrement (la dernière édition a moins de 20 ans).

C’est le catéchisme de l’église catholique, et sur les actes homosexuels, il est très clair : « Ils ne sauraient recevoir d’approbation en aucun cas ».

Les homosexuels sont acceptés avec « respect, compassion et délicatesse » mais uniquement s’ils sont chastes. Ils peuvent ainsi « unir au sacrifice de la croix du Seigneur [leurs] difficultés ». Super.

16. Le 11 février 2010,
Marc

@Xave : il me semble que c’est le contraire justement. Il ne faut pas confondre ce qui relève de la Foi et du Dogme, l’un et l’autre s’articule au sein de l’Église Catholique sans se confondre.

Enfin il me semble que cela fonctionne comme ça, mais peut être ai-je mal compris ? Dans ce cas je suis sans doute un mauvais catholique.

@Nicolas : si justement, il est ouvert à interprétation. C’est sans doute la raison pour laquelle il existe effectivement un catéchisme de l’Église universelle, mais également un Catéchisme des Évêques de France.

Et qu’une première lecture permet sans doute de mettre en évidence des contradictions et des différences de points de vues, notamment sur la plupart des questions de morales sexuelles, sauf à considérer qu’elle ne sont pas sur le même registre théologique, indépendamment d’un point de vue normatif d’ailleurs.

Enfin pour ce qui concerne la contestation au sein de l’Eglise Catholique des positions pontificales, ici aussi, désolé, mais c’est loin d’être aussi évident ou simple.

17. Le 11 février 2010,
Marie-Aude

Il y a la même différence entre le dogme et la pratique des catholiques qu’entre le code de la route et la vitesse réelle.

Chaque catho est une personne, certains sont très cons, d’autres moins, d’autres pas du tout. Souvenez vous par exemple du professeur Milliez, au procès de Bobigny, affirmant contre le dogme catholique, qu’il n’y avait pas d’autre issue honnête que l’avortement dans le cas précis. L’ordre des médecins a été plus dur contre lui que l’église.

18. Le 11 février 2010,
Nicolas

Marc :

il existe effectivement un catéchisme de l’Église universelle, mais également un Catéchisme des Évêques de France.

En effet, et ils disent la même chose :

L’opinion publique, après avoir brocardé l’homosexualité, tend aujourd’hui à en faire une autre manière de vivre la sexualité. Refusant de s’affronter à la différence sexuelle, l’homosexualité est une déviation objectivement grave. Souvent victimes de leur éducation ou du milieu où elles ont vécu, les personnes homosexuelles doivent être reçues et accueillies avec respect, mais dans la vérité. On doit les aider à dépasser leur déviation et à en porter les souffrances. Il ne faut d’ailleurs pas confondre les tendances homosexuelles, qui peuvent être vécues dans une chasteté parfois difficile, avec les actes homosexuels. Mais une société qui prétend reconnaître l’homosexualité comme une chose normale est elle-même malade de ses confusions.

Sur la contestation au sein de l’église, ça mériterait effectivement d’être creusé.

19. Le 11 février 2010,
xave

Marc, va au bout de l’article : “Le dogme est un énoncé de la foi qui ne peut être remis en cause” dans les “religions d’autorité”, dont l’exemple type est le catholicisme.

Mais je fais bien la différence entre la foi et le catholicisme. Il m’arrive d’avoir pour l’une un certain respect que je n’ai absolument pas pour l’autre. Justement parce que le principe de base du catholicisme, c’est “maintenant, on va vous dire quoi penser”, c’est la religion idéale des gens qui ne sont pas intéressés par le libre arbitre et la réflexion personnelle.

Oui, un catholique qui réfléchit est un mauvais catholique, mais je les préfère comme ça.

20. Le 11 février 2010,
xave

Accessoirement, je dois dire que “Notre Dame des Sodomites”, ça sonne vachement bien.

21. Le 11 février 2010,
Marc

Grand débat Xave de la nature de la Foi chrétienne et de son rapport avec sa forme institutionnelle….

22. Le 11 février 2010,
Marc

pas faux ça :)

23. Le 11 février 2010,
Bashô

xave & Nicolas> Euh, Marc a raison. Il y a ce qu’on appelle la “hiérarchie des vérités”. C’est assez complexe à expliquer, disons pour faire simple qu’il faut distinguer le Magistère “infaillible” du Magistère “authentique”, ce dernier pouvant se tromper. Le cas le plus connu est la question de l’esclavage : jusqu’à la fin du XIXe siècle, l’institution était considéré comme naturel, seul le mauvais traitement et la réduction abusive en servitude étaient condamnées. Il a fallu attendre Léon XIII pour une condamnation sans ambiguïté.

Par ailleurs, il faut considérer l’enseignement ecclésial d’un point de vue historique et dynamique. On ne se rend pas compte mais l’Eglise a considérablement évolué sur ce point. Auparavant, ce qu’on appelle pudiquement un acte homosexuel était considéré comme un des “péchés qui crient vers le ciel” et donc l’un des plus graves qui soient, ce qui explique d’ailleurs la peine de mort qui frappait au Moyen Âge ceux qui étaient surpris en flagrant délit, un péché quasi sans possibilité de rémission. Aujourd’hui, le Catéchisme distingue tendance et acte, et se borne à préciser qu’ils ne doivent être en aucun cas approuvés.

On peut ne pas être satisfait d’une telle approche mais on ne peut pas comprendre ce qu’elle signifie vraiment si on ne connaît pas l’histoire.

24. Le 11 février 2010,
xave

Bashô> Ok, je ne demande qu’à apprendre, mais ce que je comprends de ton explication, c’est que la position de l’Église évolue avec le temps (ce qui est heureux.) Mais ça n’infirme pas l’idée que le croyant est censé être d’accord avec l’autorité du moment (“authentique”, donc.)

Parce que s’il est permis de penser que le magistère authentique se trompe sur le magistère infaillible, c’est -comme on dit- la porte ouverte à toutes les fenêtres : on a le droit de penser que le Pape a tort, ou qu’en réalité la sodomie est le plus court chemin vers Dieu (et pas seulement sur les petits garçons (oh, ça vaaaaaa, je rigoooooole !)) ou que Pie XII ne valait guère mieux que Ponce Pilate. Mais alors, finalement, tout le décorum, toute cette hiérarchie, ça sert à quoi ?

Je ne doute pas, ceci-dit, qu’on trouvera toujours une discussion dans un coin pour tout justifier, mais honnêtement, les exégèses, ça me fatigue. Le trip “-Ah merde, on a dit que toutes les femmes étaient malpropres et on a dit que Dieu s’est réinventé lui même en naissant d’une femme, comment on fait ? -Ben on n’a qu’à dire qu’elle était vierge. -Ouais mais ça règle que la moitié du problème. -Ah ben on n’a qu’à dire qu’elle est immaculée ! -Ouaiiiis !”

Après ça, franchement, immaculée et y voudrait pas qu’on s’embrasse ? C’est un peu fort de café.

25. Le 11 février 2010,
Bashô

xave > Le pape peut se tromper, il bénéficie de l’infaillibilité pontificale que lorsqu’il parle “ex cathedra” et de manière explicte. Cela n’est arrivé que deux fois depuis Vatican I. De même lorsqu’un Concile s’exprime de manière définitive ( typiquement par la formule négative “si quelqu’un dit blah blah, qu’il soit anathème”), il est réputé infaillible. Il y a aussi infaillibilité dans le cadre du magistère “ordinaire et universel” (c’est du jargon ecclésiastique pour dire que les évêques et le pape sont tous d’accord, et en lien avec la Tradition) mais c’est plus difficile à reconnaître. A part cela, on parle de magistère authentique.

Dans le cas de l’enseignement infallible, le croyant doit tenir “fermement” ce qui est dit. Ailleurs, il doit avoir un “assentiment religieux”. C’est du jargon théologique pour dire qu’il doit avoir un a priori favorable à ce que dit le pape ou son évêque, mais il peut réserver son “assentiment” si, ayant été informé et après réflexions, il a des doutes sur la vérité énoncée.

L’Eglise ne pourra jamais dire qu’un couple homosexuel est équivalent à un couple hétérosexuel, car toute la Bible repose fortement sur la “différence sexuelle” mais plus tard elle pourrait reconnaître une certaine dignité au couple homosexuel (c’est ce qui est sous-entendu lorsque le Catéchisme parle “d’amitié désintéressé”) et de manière concrète lui reconnaître des droits juridiques. Mais vous savez, c’est comme un éléphant : ça évolue sur des siècles. :o)

26. Le 12 février 2010,
niemand

Éjaculation féminine pas pour l’australie

27. Le 12 février 2010,
Nicolas

Bashô

Je n’ai pas dit que l’église n’évoluait pas. En fait, j’ai dit exactement le contraire. c’est pour ça que je cite des textes récents.

Elle évoluera peut-être, mais sa position actuelle est très claire. Quant à celle des fidèles…

28. Le 14 février 2010,
cossaw

certes, la manifestation d’origine a été déplacée, mais maintenue. Il faut voir qu’on ne s’invente pas organisateur d’une manifestation intrinsèquement politique sans avoir le droit à l’erreur, ici dite de jeunesse ; le maintient vallauit bien ayux yeux des orgamisateur quelque sacrifice de sécurité, sachant qu’ils pouvaient aussi rappeler la menace que constituait alors l’intégrisme catholique. Pour eux, le but premier était la réalisation d’un kiss-in qui attirerai des gens peu motivés par des actions d’éclat plus 80s like. et de permettre aux plus téméraires, plus militants, ausi, donc celles et ceux qui se sont après rendu sur la place, publique comme la cathédrale d’ailleurs. Il a été pertinent de prendre note.photos/films de l’attroupement réac et homophobe qui s’en est suivi. Quelle quantité de protection policière aurait-il fallu employer ? Peu, m’est avis (je n’y étais pas) En fait, deux leçons sont à retenir : tenir tête aux réac, tenir tête à la préfecture (qui est quand même situé en FACE de Notre Dame et qui pouvait très bien gérér une situation comme celle-là sur une place aussi rectangulaire, malgré les quelques décors.

29. Le 25 février 2010,
lechafouin

Tiens un petit exemple de l’intolérance catholique envers les homosexuels. Visiblement, en Ouganda, l’Eglise est bien seule pour les défendre : http://www.nystagmus.me/article-qui-est-le-pasteur-martin-ssempa-45578741.html

Blah ? Touitter !

Tputh

TPUTH. “Socially Generated, Machine Filtered, Hand Polished, Electronic Newspaper for Geeks, Designers & Venture Capitalists.” [Via J. Gruber.]

J’aime beaucoup la maquette, clin d’oeil à la Правда :

2010-tputh.

(Les titres sont en Impact, si vous vous posiez la question.)

1. Le 11 février 2010,
Guillermito

Je dois avoir l’esprit mal placé : j’ai lu le titre comme “PUTA”.

2. Le 11 février 2010,
padawan

@Guillermito : les grands esprits se rencontrent. ;-)

3. Le 11 février 2010,
Laurent Gloaguen

Vous êtes vulgaires !

4. Le 15 février 2010,
Krysalia

+1 avec les vulgaires :)

Blah ? Touitter !

Anthropomorphes

Je teste en ce moment la version 3 du logiciel de catalogage de photos Aperture d’Apple (le concurrent de Adobe Lightroom).

2010-reconnaissance-visage.

J’émets tout de suite quelques réserves sur l’efficacité de la nouvelle fonction de reconnaissance des visages…

1. Le 11 février 2010,
xave

Tête de cul.

2. Le 11 février 2010,
Guy Verville

Trop drôle.

3. Le 12 février 2010,
Mox Folder

Et sinon Aperture ça donne quoi ?

4. Le 12 février 2010,
Laurent Gloaguen

J’aime bien.

5. Le 12 février 2010,
Gagarine

Et ça vaut vraiment le coup par rapport à iPhoto?

6. Le 13 février 2010,
Jean

Moi aussi j’aime assez. J’utilise pourtant Lightroom 2. Au point de vue gestion de bibliothèques, interface, navigation entre les photos, Aperture est vraiment très agréable et plus intuitif. J’attends cependant un comparatif exhaustif des fonctions de traitement d’image entre Aperture 3 et Lightroom 3 par un spécialiste pour me faire une idée plus précise, voir faire un choix.

7. Le 13 février 2010,
Laurent Gloaguen

@Gagarine : le mieux, c’est de télécharger la version d’évaluation pour voir si ça correspond à ton usage.

8. Le 19 février 2010,
Médard

Bah ! c’est la même fonction que dans iPhoto (et on peut supposer qu’elle a le même moteur ;-)) Et on a effectivement des résultats parfois surprenants… des visages dans la végétation, la nature…

Il y en a bien qui trouvent le visage du Christ n’importe où !

;->

Blah ? Touitter !