“A wonderful fuck at UQAM’s restrooms. I fucked his hairy tight ass as if there’s no tomorrow. Wow!”
Magie de l’exhibitionnisme et de la géolocalisation. I Just Made Love.
P.S. On me souffle que ce n’est pas nouveau, pas grave, c’est drôle pareil…
P.S. bis. Mouin… “C’est drôle pareil”, c’es-tu pas un québécisme ?
[…] J’imagine le client type d’Alexis Faure qui peut être chômeur, étudiant ou retraité et sans connaissances particulières des choses d’Internet. La France est dans un marasme économique propice à l’espoir de générer un revenu complémentaire facilement. La proposition est suffisamment alléchante pour tenter le coup et on se lance dans l’aventure Internet les yeux remplis d’étoiles grâce aux photos de gars comme vous et moi qui brandissent des chèques Adsense aux montants mirobolants.. Seulement, la triste réalité va frapper car il n’y aura pas de Pina Colada sur le yacht en laissant tourner un système magique qui engrange du flouze automatiquement.
Cela fait un moment que je voulais écrire sur le problème des gourous du marketing qui sévissent en ce moment. Certains, comme Alexis Faure, dépasse les bornes en masquant la vérité, mais la plupart sont surtout coupables d’avoir fait un copier-coller du format américain. La culture est différente sur le vieux continent et le discours du gars qui détient le secret absolu pour réussir doit adopter un enrobage qui saisit les spécificités de la culture européenne. Par ici, le rentre dedans ne peut pas être aussi violent et brut de décoffrage comme aux Etats-Unis.
[…] Parfois, je me laisse prendre à regarder une vidéo de ces kings du marketing. Ils se donnent beaucoup de mal pour construire une crédibilité sur pas grand chose, mais finalement ils sont seulement coupables de répondre à une demande pour acheter du rêve. Vous ne trouverez jamais un secret ou une méthode innovante, mais cela donne un bout d’espoir pour atteindre cette liberté ou ce bonheur qu’on cherche tous.
Laurent Bourrelly : “L’illusion de la Long Tail Express d’Alexis Faure”.
La calomnie, pourtant diffusée à très grande échelle grâce à Twitter, n’a pas freiné le succès de la pétition, qui compte aujourd’hui 1 600 000 signatures. Maître Eolas, qui a décidément les nerfs fragiles, a écrit : « Je me torcherais bien avec l’Institut pour la Justice si je n’avais pas peur de salir mon caca ».
Que reste-t-il, après ça, de l’image d’avocat guidé par la seule Raison, qu’il a si patiemment cherché à construire ? Ce n’est pas à nous de nous prononcer. La question est de savoir si sa maîtrise de la procédure pénale lui suffira pour échapper à une pitoyable condamnation au Tribunal Correctionnel, pour diffamation et injure. Car il est sous le coup, aujourd’hui, d’une plainte de l’Institut pour la Justice, diligentée par Maître Gilles-William Goldnadel.
Mais le plus triste dans la personnalité cachée de Maître Eolas, n’est pas là. C’est la façon dont cet avocat privilégie l’anathème au débat contradictoire, alors qu’il se voudrait être un modèle pour de nombreux jeunes qui se destinent à la profession. A tant attaquer ses ennemis sur la forme plutôt que sur le fond, Maître Eolas ne craindrait-il pas, tout simplement, la confrontation des idées ?
Atlantico, Xavier Bebin, délégué général de l’Institut pour la Justice : “La face cachée de Maître Eolas”.
Je suis extrêmement déçu par ce texte, on nous promet la face cachée d’Eolas, et puis, en fin de compte, rien.
Commentaire lapidaire de l’intéressé : “Lol”.
Si vous n’avez pas suivi : « Attention manip : le “pacte 2012” de “l’Institut pour la Justice”. ».
“A tant attaquer ses ennemis sur la forme plutôt que sur le fond (…) ” Cette phrase me semble parfaitement exagérée concernant Maître Eolas, et la simple lecture de ses billets qui détaillent point par point les méandres des affaires ou évènements qu’il aborde. Je ne peux pas croire que la personne qui écrit cela ait vraiment lu le blog plus loin que l’article incriminé.
Et encore, Me Eolas cite plusieurs problèmes de fond dans le discours de l’institut.
C’est toujours comme ça Atlantico ?
Et puis, parler sous forme d’interrogations, c’est un bon moyen d’accuser sans se mouiller. Atlantico, journal de merde ? L’IPJ, débilité en marge d’élections ? Ce n’est pas à nous de le dire.
Parler de privilégier l’anathème en faisant référence à cet article d’Eolas, c’est prouver une fois de plus un rapport assez étrange avec la réalité. J’ai aussi été impressionnée par la machine mise en place par les partisans de l’IpJ, puisque ayant publié à mon tour à ce sujet sur un blog très confidentiel, j’ai malgré tout reçu la visite très insistante d’un de leurs partisans, que j’ai fini par devoir modérer.
Je ne me fais pas trop de soucis pour Maitre Eolas, il a un très bon avocat.
Justin Trudeau caused uproar in the House of Commons today after he called Federal Environment Minister Peter Kent a “piece of shit” during a heated question time debate over the Kyoto Protocol.
The Liberal MP for Papineau immediately apologized, admitting he “lost his cool” after Kent questioned why NDP environment critic Megan Leslie had not attended last week’s climate change summit in South Africa.
Canada officially withdrew from the Kyoto accord on Monday, drawing pointed criticism from overseas signatories to the pact.
Trudeau became incensed after Kent suggested that Leslie should have been in Durban for the UN meeting, despite the minister banning all non-government MPs from Canada’s official delegation.
Peter Kent in the House of Commons gets a ‘piece’ of Justin Tredeau’s mind on Wednesday. In questioning Kent, Leslie suggested Canada was abandoning Kyoto to hide the Conservative government’s failure to cut greenhouse gas emissions.
As the environment minister responded to the question, Trudeau could be heard shouting, “Oh, you piece of shit,” at Kent.
National Post: “Uproar after Justin Trudeau hurls four-letter obscenity at Peter Kent in House of Commons”.
Christophe D.
J’avais beaucoup aimé cette cartographie participative de Rue69 : http://bit.ly/v17pNk
Blah ? Touitter !