Journal de bord

Coup de chapeau aux collègues de Quebecor Media qui ont fait le tour de l’histoire dès sa révélation par Acrimed, un site français consacré aux médias. Grâce à eux, on a les versions de Mme Laborde et de Mme Bombardier qui, depuis, se cachent derrière les avocats de Fayard pour ne pas s’expliquer. On ne peut pas dire que les explications données aux journalistes de Quebecor, quand l’affaire a éclaté, soient très convaincantes.

La Presse, Patrick Lagacé : “Mme Denise Bombardier, derrière un bouclier avocassier”.

Patrick Lagacé qui lève son chapeau pour le Mordor Quebecor. Wow, pour un salarié de la Power Corporation, c’est fort !

Mais bon, le confraternel a ses limites. Faire un lien vers le Journal de Québec, tu n’y penses pas. Tiens, je vais mettre une recherche Google à la place…

Cheap ?

Photo Osservatore Romano, 28 mars.

1. Le 29 mars 2012,
padawan

Avez-vous remarqué qu’il n’y a pas de retraite pour ceux qui ont les moyens de faire chier le monde jusqu’à leur dernier souffle ?

2. Le 29 mars 2012,
Laurent Gloaguen

Fidel Castro est officiellement à la retraite.

3. Le 29 mars 2012,
Dave

Je ne suis pas sûr duquel des deux je suis le plus surpris d’apprendre qu’il est encore en vie…

4. Le 29 mars 2012,
ossobuco

Ah voilà le genre d’article bien fait pour moi, mais mon commentaire s’annonçant un peu long j’ai préféré rouvrir un blog pour l’y publier plutôt que prendre trop de place ici - maman m’a toujours dit qu’il était impoli de s’imposer outre mesure chez des gens qu’on ne connait pas assez pour oser leur demander si on ne les importune pas (bien que le suivi des statistiques me fatigue quand il ne me démoralise pas et avec l’avantage que si à la relecture je trouve le commentaire vraiment trop con je pourrai le supprimer et éviter un sentiment de honte rétrospective bien destructeur).

5. Le 29 mars 2012,
Gilles

La (presque) même photo : https://plus.google.com/116198773019777608290/posts/WNeaUpZuNbR

Blah ? Touitter !

Thierry Crouzet (@crouzet) quitte Internet pendant six mois. Il en tire un livre, J’ai débranché (2012). L’Oreille tendue, elle, en tire (notamment) ceci :

J’ai l’habitude d’être le clown de service. Il a suffi qu’un jour je quitte le Midi pour que plus personne ne me prenne au sérieux. Dans les boulangeries parisiennes, les clients s’exclament :

— Le paing !

Quand je parle en public, je provoque l’hilarité. J’ai beau m’attaquer à des sujets difficiles, les auditeurs se bidonnent. Mon accent détruit mes efforts d’abstraction (p. 19).

Les Québécois savent très bien ce qu’il veut dire.

L’oreille tendue : “Convergence transatlantique”.

1. Le 29 mars 2012,
Karl, La Grange

Hemingway un ami de Laurent.

In one dated Feb. 22, 1953, from Cuba, he describes having to shoot his beloved cat Willie after he was hit by a car. Someone else offered to do the job, but Hemingway writes that he could not risk “a chance of Will knowing anybody was killing him.” He goes on to say that a group of tourists unexpectedly drove up: “I still had the rifle and I explained to them they had come at a bad time and to please understand and go away. But the rich Cadillac psycho said, ‘We have come at a most interesting time. Just in time to see the great Hemingway cry because he has to kill a cat.’” In response, he writes, “I humiliated him as he should be humiliated, omit details.” JFK Library Unveils Hemingway Letters

2. Le 29 mars 2012,
Laurent Gloaguen

Hemingway était un homme à chats, sa maison en témoigne encore : http://www.hemingwayhome.com/cats/

Beurk.

3. Le 30 mars 2012,
Karl, La Grange

C’est bien ce que je dis ;) pareil que toi :p

Bon puisque les chattes ne fonctionnent pas, parlons pennies

4. Le 30 mars 2012,
Karl, La Grange

Une question de goût

5. Le 1 avril 2012,
Jean

Même AdBlock la remarquable extension Safari censée me libérer des pubs est passée aux chats que maintenant elle affiche pour remplacer la pub.

Blah ? Touitter !

They tried various other questions, questions from other tests, questions they used for more advanced candidates. Gwen answered as best she could. The men were amazed. To their credit, once they became convinced that she hadn’t faked her results, they knew she would be a great hire. They recommended her for training as a programmer analyst, the most senior position being filled. She completed the training and became one of the first women to program computers in Canada. Gwen would go on to lead a number of large computerization projects in the insurance industry as well as for the City of Toronto.

Today she is retired, and like most retirees, she asks her son to help her with computers. She likes her Mac and runs a small business buying and selling books on line. What does she have to say about the difficulties she faced breaking into a male-dominated industry?

“I had it easy. The computer didn’t care that I was a woman or that I was black. Most women had it much harder.”

Reginald “Raganwald” Braithwaite: “A Woman’s Story”.

IBM. Photo Walter Sanders, Life. 1961.

IBM. Photo Walter Sanders, Life. 1961.

IBM. Photo Robert W. Kelley, Life. 1962.