Journal de bord

jeudi 1 novembre 2012

The Shack

Imagine a house that has everything you need, but nothing more.
Walls and a roof that shelter, but do not entrap with false promises and hidden costs.
The Dutch have an untranslatable word: gezellig, the Germans say gemütlich.
It’s a combination of comforting, welcoming, cosy, inspiring.
In this spirit I built this house to be efficient and practical and aesthetically nourishing.

Created spontaneously by hand using simple tools,
each piece is imbued with the memory of its making.
And it cost no more than a few months of work.
It contains only objects that give tangible pleasure, or are inherently useful:
fire, water, food, clothes, a couple books, a sharp knife.
It provides space to eat, play, read, dream.
It’s a refuge, but not a fortress.
It lets the outside in, but gives imagination flight.
Falling asleep under this curved roof evokes memories of our ancestral cave.
With lines of sight to the rising and setting sun, and a skylight to the stars,
this essential shelter leaves nothing wanting.

1. Le 1 novembre 2012,
ossobuco

Je ne vois pas trop le côté gemütlich de la cage à lapin et c’est pas bien d’utiliser les enfants pour infliger ses névroses à la planète. Mais vu la grande facilité d’accès du môme au couteau bien aiguisé, ça m’étonnerait pas que ça finisse dans un bain de sang. Il y a toujours une forme de justice.

2. Le 2 novembre 2012,
Joachim

Mon clapier parisien est un peu comme ça, j’ai un couteau bien aiguisé, de l’eau, de la chaleur, des vêtements et quelques livres que je n’ai pas fini de colorier. En revanche, il n’est pas au fond du jardin, mon clapier. Il est au quatrième étage et me coûte tous les mois la moitié de mes revenus.

Blah ? Touitter !

We apologize

Oh my goodness, do we feel bad now:

“A 4-year-old Fort Collins girl expressed her frustration over the seemingly never-ending presidential campaign,” Denver’s 9News reports. “Viewer Elizabeth Evans said she and her daughter, Abigael, were listening to NPR on a trip to the grocery store Tuesday when [Abigael] started tearing up.

“The mother asked Abigael why she was crying and she responded, ‘I’m tired of Bronco Bamma and Mitt Romney.’ “

You will want to watch the video.

On behalf of NPR and all other news outlets, we apologize to Abigael and all the many others who probably feel like her. We must confess, the campaign’s gone on long enough for us, too. Let’s just keep telling ourselves: “Only a few more days, only a few more days, only a few more days.”

NPR, Mark Memmott: “Dear Little Girl: Sorry We Made You Cry About ‘Bronco Bamma’ And Mitt Romney.”

1. Le 1 novembre 2012,
Joachim

Et le Drudge Report de s’exclamer “NPR APOLOGIZES FOR MAKING LISTENER CRY… http://drudge.tw/RvY8dA

Blah ? Touitter !

Montréal, ville pourrie

La corruption faisait partie de la « culture d’entreprise » à la Ville de Montréal, affirme l’ex-fonctionnaire à la retraite Luc Leclerc. Il a par ailleurs corroboré l’affirmation de l’ex-entrepreneur Lino Zambito, qui a dit que le crime organisé [la Mafia] touchait de 2 à 2,5% des contrats de la métropole et le « politique », 3%.

Durant son témoignage, l’ingénieur à la retraite a affirmé que les pots-de-vin étaient courants lorsqu’il a été embauché, en 1990. À l’époque, ses huit collègues ingénieurs à la voirie recevaient chaque année des cadeaux de Noël des entrepreneurs en construction.

Luc Leclerc explique que, en acceptant ces cadeaux, il s’est simplement « adapté ». « À Rome, on fait comme les Romains », a-t-il dit.

En fait, selon lui, les entrepreneurs en construction savaient qu’il serait embauché avant même son arrivée à la Ville. Ils l’ont alors invité à participer à des « activités sociales » où les cadeaux pleuvaient.

À son premier Noël à Montréal, des camionnettes arrivaient « deux-trois fois par jour, pendants plusieurs jours » remplies de cadeaux au nom des fonctionnaires. « Quelqu’un voulait des billets de hockey ? Il en demandait », a dit le retraité.

[…] M. Leclerc a admis mercredi qu’il avait accepté des pots-de-vin de la part d’entrepreneurs en construction, dont environ 500 000 $ comptant.

Désinvolte, il a énuméré ces cadeaux - jusqu’à un jambon. Selon lui, « à peu près tout le monde » à la Ville était au courant du système de collusion.

La Presse, Pierre-André Normandin : “La corruption faisait partie de la «culture d’entreprise» à Montréal”.

Tweet Martine Painchaud

(Martine Painchaud est attachée de presse du cabinet du maire de Montréal.)

1. Le 1 novembre 2012,
Mox Folder

Il est parti fuir à l’étranger ? ;)

2. Le 1 novembre 2012,
Off Topic

Blah ? Touitter !