Journal de bord

misanthropie

Morceaux de misanthropie

Promenade dans les rues de Paris un soir de match ; Que c’est beau, cette foule qui vibre d’un seul aboiement, ça rappelle les plus belles heures du IIIème Reich.

Xave.

Misérables pantins, au comble du bonheur parce qu’une demi-douzaine de millionnaires en a battu une autre qui n’avait pas les mêmes passeports.

Garoo.