Wikipedia: Robert Opel (23 October 1939 – 7 July 1979).
Opel is one of the most famous examples of 15 minutes of fame in history. On April 2, 1974 during the 42nd Annual Academy Awards, just as David Niven was about to introduce Elizabeth Taylor, a naked Opel bolted across the stage. He was captured by security but instead of being arrested he was taken before the press. [IMDB: “Robert Opel bio”.]
You all know this photo. It’s the Oscar streaker. And it’s David Niven looking at who knows what. I’ve searched the internet far and wide and, for the life of me, can not find one image of streaker Robert Opel’s uncropped, unblurred “statuette.” It might be for the best (maybe he was just born with a blurry penis), but you’d think that at one of the most photographed events in America, there might have been more than two photos of Opel’s legendary jaunt. [WFMU’s Beware of the Blog: “Yes, They Called Him the Streak”.
Nicolas V. lui disait “We miss good old bloggers. Tous ces freluquets à peine pubère du blogging sont fatigants”. Je l’avais définitivement enterré en septembre dernier, mais voilà que Nicolas B., ex Be-rewt, ex “ma biroute préférée”, nous revient : “L’avis de Nicolas B.”.
Et Pierre Carion dans tout ça ?
L’intimidation juridique, ça ne coûte pas cher et ça marche : Luc Mandret, “Mis en demeure par Maître Sylvie Noachovitch”. Et avec un simple courriel, il n’y a même pas les frais d’un recommandé… Vraiment très économique.
Pour ma part, s’il y a prescription, on est mieux de tenter d’abord un réglement à l’amiable, sinon, ça me fâche, je me braque, et les écrits incriminés restent en ligne.
Premier cas, l’avocat d’une société d’email marketing me menace sur un ton comminatoire des pires représailles judiciaires à mon encontre au nom de la loi. Hélas pour eux, il y a prescription. Résultat : je ne fais pas fait suite au courrier recommandé, et le texte qui les accuse de spam, à juste titre, est toujours en ligne. Pas eu de nouvelles depuis.
Second cas, une autre société, s’estimant lésée par mes écrits (prescrits), choisit la voie amiable en premier lieu. Elle prend contact directement avec moi, me fait valoir ses arguments avec gentillesse et courtoisie. Le billet est amendé dans la journée.
Par ailleurs, je me pose la question sur la probité de certains avocats qui se permettent d’avancer des arguments juridiques qu’ils savent pertinemment erronés à seule fin d’intimidation.
Blah ? Touitter !