Lexiques officiels des sports olympiques. (La recherche “dopage” ne donne aucun résultat.)
Le siège de l’Agence Mondiale Antidopage, qui existe depuis 5 ans, se trouve à Montréal (Tour de la Bourse, place Victoria). “Le sport est la célébration de l’humanité, du corps et de l’esprit. Le dopage est contraire à l’esprit sportif, il affecte la confiance du public et met en danger la santé et le bien-être des sportifs.”
L’entraîneur grec [Christos Tzekos] est également soupçonné d’avoir des liens avec le laboratoire Balco, à l’origine de la THG (tétrahydrogestrinone), un nouveau stéroïde. Dans son rapport, l’enquêteur américain chargé de l’affaire Balco explique que le patron du laboratoire, Victor Conte, a envoyé en août 2002 un courrier électronique à “l’entraîneur des athlètes grecs X et Y” - dont les noms ont été effacés - pour le prévenir de la possible prochaine découverte d’un test de dépistage de la THG “afin que personne ne soit testé positif”.
[Deux sprinteurs grecs étaient absents au contrôle antidopage.]
De toutes façons, qui peut croire que l’on puisse de nos jours devenir champion olympique du 200 m sans dopage ? Il faudrait être bien naïf. L’art du dopage a toujours une longueur d’avance sur le flicage, et avec les thérapies géniques, on a pas fini la course-poursuite. Au moins, grâce aux progrès de la science, on nous épargnera les douloureuses images de ces nageuses de l’Est ou de ces athlètes américains aux corps déformés par les stéroïdes anabolisants, images qui ne choquaient personne dans les années 80. Les techniques ont évolué, se sont affinées. Il demeure cependant, notamment en athlétisme, des records du monde qu’il n’est plus possible humainement d’atteindre… les records de la honte.
Entre le dopage, la corruption au CIO et la gigantesque pompe à fric qu’est devenue les JO (principalement depuis Los Angeles, 1984), il devient difficile de s’émouvoir du peu qu’il reste d’un pseudo-mythique esprit olympique. That is showbusiness !
P.S. Isabelle Hontebeyrie, Genetically modified Olympics?
À propos du trafic parasite et peu ciblé apporté par les moteurs de recherche :
I make a few assumptions about users who land on this site via Google:
- they are viewing the site for the first time, and most likely the last
- they have no contextual information other than what I provide up front, as in, no concept of weblogs or personal news sites (and they don’t care)
- they have one objective in mind: to get the information they were looking for.
I’d be happy if Scribbling.net was actually useful to Google-surfers half the time. But that’s probably wishful thinking.
Le manque d’informations contextuelles… c’est souvent ce qu’il manque au nouvel arrivé sur un blogue, surtout chez moi où il ne faut vraiment pas tout prendre au premier degré et au pied de la lettre, où il convient de séparer le bon grain de l’ivraie. Mes amis savent ce qui appartient au docteur Jekyll et à Mr. Hyde (heu… “capitaine bonhomme”…). Les weblogues tiennent, pour beaucoup, de la conversation entre amis, et leur compréhension demande un minimum de familiarité avec leurs auteurs. Ce n’est pas à la lecture d’un billet que l’on peut cataloguer, juger, circonscrire un auteur. Vient également la notion de crédibilité…
Dommage que NoIndex soit un meta qui affecte une page entière. Une balise utilisable dans le body permettrait des réglages plus fins.
Le Padawan a déjà crié : ne fermez pas la porte à Google.
C’est très amusant de voir ces préoccupations revenir périodiquement ;-) Ça me souciait beaucoup (trop) à l’automne dernier :-) J’ai fini par résoudre le problème en ne suivant plus les stats et en plaçant ponctuellement un googlenoindex ou un allnoindex quand il y a un problème (qui se traduit en général par des commentaires ou des mails bizarres) ou quand je sais d’avance pour une page que Google ne peut pas amener de visiteurs qui y trouveraient leur compte, et en évitant les liens externes qui donnent trop de poids au blogue :-)
“Les journées sont grises, cahin-caha, couci-couça. Les journées sont pluvieuses, orageuses, déstabilisantes.” Pareil ici.
Des Noeuds dans l’Ether s’engage dans une série de confidences impudiques et touchantes. De sublime au sordide, j’ai bien aimé le troisième épisode.
Très bien écrit, en effet, l’émotion très juste.
C’est une blague??? Y’a un truc??? je veux bien croire que la culture japonaise soit exotique à nos yeux, mais là, quand même, naaaaan ????!!!
Quelques infos sur les producteurs, Soft on Demand: http://www.snopes.com/cgi-bin/ultimatebb.cgi?ubb=print_topic;f=16;t=000916
“Basically, SOD takes various concepts (like gameshow or reality shows or whatnot) and turn them into porn. What they did for that particular segment is recruit female participants willing to watch and possibly take part in a “penile exam” show, got a few male actors and there you go. So the “actresses” are more like “willing volunteers”, if you want. AFAIK, their stuff isn’t scripted except for the most basic stuff (i.e. the men and women knew what the show would be about, but that’s about it).”
Je ne vois pas ce qu’il y a d’extraordinaire. Il existe déjà dans un certain pays occidental une émission qui s’appelle Porn Star Academy, au concept évidemment calqué sur une autre émission bien connue. Les candidats y briguent un contrat d’acteur X. Le pays en question… Attention… Le Québec, bien sûr ;)
personnellement, je préferre cela plus sain… qu’une émission comme celle d’Emmanuelle Chain, où de jeunes entrepreneurs viennent éjaculer sur le plateau avec leur résultats financiers ou encore une émission comme combien ça coûte.
Qu’est-ce qui est vraiment choquant dans cet extrait ? :) allez-y, je sens le débat intéressant qui sourde.
Je ne me sens pas “choquée” mais plutôt surprise. Avouez que l’effet surprise est plutôt fort, surtout que les filles ont l’air si jeunes! On a l’impression qu’une émission jeunesse commence, du style 0340 à Radio-Canada, et tout à coup ça vire en pipe collective! S’il y a choc, c’est celui des cultures. On a beau montrer de la porno et du soft core avec les Bleu Nuit et compagnie, un truc pareil ne passerait jamais à la télé ici.
J’ai toujours soutenu que les femmes étaient plus voyeures que les hommes - j’en ai d’ailleurs fait le sujet d’un de mes courts-métrages à l’école de cinéma (il faudrait que je te le montre un jour, Karl. Tu aimerais bien l’une des actrices principales…) Cet extrait vidéo surprend en montrant des jeunes femmes qui regardent sans honte tout en étant heureuses de partager ce voyeurisme avec leurs copines, sans se cacher. Je ne connaissais pas cet aspect de la culture japonaise. Je ne croyais pas que les jeunes filles pouvaient y prendre ce genre de place sans devenir la honte de leur famille.
Et l’enthousiasme de celle qui gagne le droit de baiser avec le mec vedette et qui semble s’abandonner complètement en public! Les stars de la porno d’ici ne vont jamais aussi loin dans ce type d’abandon - du moins elles n’arrivent pas à nous en convaincre avec autant d’effet!
Elles ne sont pas si jeunes à mon avis, enfin moins jeune que tu ne l’imagines. :)))) secret de japonaise ;)
La notion du sexe et la culpabilité par rapport au sexe est quelquechose de beaucoup plus chrétien qu’on ne le pense.
je suis crevé là, je ferais un commentaire beaucoup plus long demain.
Karl, tu oublies “les coulisses de l’économie”, sorte de “journal du hard” pour les jeunes madelinistes et autres LLM en puissance ;)
SOD est un programme DVD uniquement. Cela ne passe pas à la télé.
””” Ganari Takahashi is the telegenic president of Soft on Demand, one of Japan’s fastest growing porn companies. Now in its eighth year of business, SOD has grown from a company with six employees to a staff of 180 and profits of [yen] 1.5 billion on sales of [yen] 7.8 billion. SOD currently releases 1,000 titles on DVD and video a year. You might think Takahashi would be happy, but far from it. Takahashi wants to destroy the competition, transform adult entertainment in Japan into a mainstream business, open up the market for women and become the “McDonald’s of adult entertainment.” “”“
Pour illustrer les aspects étranges de la télévision japonaise, on ne parle jamais des émissions de la NHK où un petit vieux explique avec ses tableaux de carton la trigonometrie, l’electromagnetisme, Fourier, Laplace, j’en passe et des meilleures.
Pourtant, ca c’est de la television rare et étonnante!
Le cul et les jeux stupides, bof, partout pareil…
Damien Bonvillain
Bizarre, les termes apparaissent dans les lexiques de Salt Lake et de Sidney, mais plus dans celui d’Athènes. Peut-être pour tenter de relancer le dopage à l’huile d’olive ?
Laurent
Cela doit tenir de la “pensée magique”, on efface le mot en souhaitant que la réalité associée s’efface.
Blah ? Touitter !