Journal de bord

vendredi 24 août 2012

Ça se discute…

Sur la toile française, je cherchais des blogs et mis à part Skyrock qui avait eu la vision et l’intelligence de bâtir la plateforme Skyblogs, et Loïc Le Meur qui était déjà une figure emblématique de cette révolution, il n’y avait pas grand-chose.

Christophe Ginisty : “Saga de l’été : Les blogs”.

1. Le 24 août 2012,
Karl, La Grange

mwahahaha…

2. Le 24 août 2012,
cyp

le syndrôme du poisson rouge.

3. Le 24 août 2012,
Nicolas B.

La perfection de l’uchronie, le talent. Vivement la suite.

4. Le 24 août 2012,
Mr Peer

Je… je… non, rien.

5. Le 24 août 2012,
Sacrip'Anne

Euh… non, finalement, je repasserai, moi aussi.

:p

6. Le 24 août 2012,
Off Topic

Ginisty n’est même pas foutu de se souvenir de l’autre pierre angulaire de cette révolution: the-very-so-famous Jean-Luc Raymond.

Tout se perd.

7. Le 24 août 2012,
Nicolas B.

@OffTopic Te connaissant, j’aurais parié que tu aurais cité AURORA ou MiF.

8. Le 24 août 2012,
manur

Waouh, du grand art !

9. Le 24 août 2012,
Karl, La Grange

Une brochette de dinosaures dans les commentaires en passant ;)

10. Le 26 août 2012,
Jean

Ça jazze jusque dans les tweets ?

11. Le 5 septembre 2012,
Joël ronez

Aaaah, voilà du lourd. Je vais chercher Chryde et je reviens…

Blah ? Touitter !

Ecce Homo

Ecce Homo

Suis-je seul à trouver la nouvelle version artistiquement bien plus intéressante ?

“Ecce Homo”, Cecilia Giménez, 2012

“Ecce Homo”, Cecilia Giménez, 2012

“Ecce Homo”, Cecilia Giménez, 2012

“Ecce Homo”, Cecilia Giménez, 2012. [Photos Gorka Lejacegi.]

P.S. Je suis rassuré de n’être pas seul, loin de là. Il y a même une pétition pour la préservation de l’œuvre de Cecilia Giménez que je vous invite à aller signer.

1. Le 24 août 2012,
Luca

Oui ^^ En fait l eproblème c’est qu’il s’agit d’une restauration. S’il s’agit d’une réappropriation de l’oeuvre, je pense que beaucoup plus de monde y verait un certain talent.

2. Le 24 août 2012,
Mr Peer

J’aime bien aussi :)

3. Le 24 août 2012,
Off Topic

J’adore ! C’est une interprétation époustouflante de l’image Christ.

4. Le 24 août 2012,
Karl, La Grange

Dans l’armée, ils aiment le cinéma aussi.

6. Le 24 août 2012,
Laurent Gloaguen

Ah, je me sens moins seul. Merci Dave.

7. Le 25 août 2012,
ossobuco

Quelque chose m’intrigue : pourquoi Lui a-t-elle dessiné une bouche de poupée gonflable ? J’ai pas forcément bon goût, mais je trouve les deux versions autant à chier l’une que l’autre. Mais je n’ai pas tout compris alors il est possible que quelque chose m’échappe, j’avoue. P’têt que je me repentirai si on m’essplique.

Blah ? Touitter !

Putain de bon coup

[…] Parce que tu ne te protèges pas quand tu refuses de coucher avec un séropo “out” alors que tu n’es pas 100% safe avec les partenaires dont tu ne connais pas le statut. Tu appliques juste la politique de l’autruche. Une personne qui ne connait pas son statut n’est pas séronégative. En fait, tu prends plus de risques avec quelqu’un qui se pense séronég qu’avec quelqu’un qui se sait séropo et qui est suivi. Un traitement qui marche, une charge virale indétectable, abaissent le risque de transmission du virus drastiquement. Personnellement, j’attendrais encore des résultats d’étude pour dire que l’efficacité est la même chez les homos, mais chez les hétéros, la réduction du risque est de 96%. Statistiquement, ça va être difficile d’être plus proche des 100%. Ça ne justifie pas d’arrêter la capote (coucou, les autres IST, les hépatites incurables, les herpès, les gonorrhées résistantes), mais ça permet déjà d’éloigner la peur du sida.

Je comprends l’idée du sérotriage —même si elle me blesse— mais nous sommes en 2012. Être séropo aujourd’hui, ce n’est pas (la plupart du temps) comparable à être séropo il y a dix ans. Les traitements ne sont pas les mêmes, les risques ne sont pas les mêmes. Il ne s’agit pas de minimiser les problèmes liés au VIH, mais vous couchez avec des séropos, mais vous ne le savez pas forcément. A Paris, nous sommes 1 pédé sur 5 à vivre avec le virus et les traitements ont permis aux pédés de ne plus avoir à parler du VIH parce que ça ne se voit plus, en tout cas chez les nouveaux séropos. La solution de facilité, pour nous aussi, c’est de ne pas en parler. Ne nous donnez pas de raisons de le faire.

Parce que contre la peur, il y a que la parole. Je ne vivrai pas dans la peur. Je suis séropo et “out” et un putain de bon coup avec la bonne personne (références disponibles sur demande). Je prends soin de moi, j’essaye de prendre soin de toi. Je comprends que tu aies peur et je suis heureux d’en parler avec toi.

Le Roncier : “Peur, culpabilité et sérotriage”.

1. Le 27 août 2012,
Karl, La Grange

ah L’Arizona, ses étendues, ses paysages de western et ses fachos

Blah ? Touitter !