Sapphirina
Le sapphirina est un copépode.
Depp Sea News: “The most beautiful animal you’ve never seen.”
Le sapphirina est un copépode.
Depp Sea News: “The most beautiful animal you’ve never seen.”
Rire. :-)
Et merde, à tous les coups, tu es tombé sur le pire cas de figure : un innocent. Le stress absolu à défendre, car s’il est condamné, c’est que tu n’auras pas fait ton travail.
Journal d’un avocat : “Procédure 2012/01 (5e partie)”.
La calomnie, pourtant diffusée à très grande échelle grâce à Twitter, n’a pas freiné le succès de la pétition, qui compte aujourd’hui 1 600 000 signatures. Maître Eolas, qui a décidément les nerfs fragiles, a écrit : « Je me torcherais bien avec l’Institut pour la Justice si je n’avais pas peur de salir mon caca ».
Que reste-t-il, après ça, de l’image d’avocat guidé par la seule Raison, qu’il a si patiemment cherché à construire ? Ce n’est pas à nous de nous prononcer. La question est de savoir si sa maîtrise de la procédure pénale lui suffira pour échapper à une pitoyable condamnation au Tribunal Correctionnel, pour diffamation et injure. Car il est sous le coup, aujourd’hui, d’une plainte de l’Institut pour la Justice, diligentée par Maître Gilles-William Goldnadel.
Mais le plus triste dans la personnalité cachée de Maître Eolas, n’est pas là. C’est la façon dont cet avocat privilégie l’anathème au débat contradictoire, alors qu’il se voudrait être un modèle pour de nombreux jeunes qui se destinent à la profession. A tant attaquer ses ennemis sur la forme plutôt que sur le fond, Maître Eolas ne craindrait-il pas, tout simplement, la confrontation des idées ?
Atlantico, Xavier Bebin, délégué général de l’Institut pour la Justice : “La face cachée de Maître Eolas”.
Je suis extrêmement déçu par ce texte, on nous promet la face cachée d’Eolas, et puis, en fin de compte, rien.
Commentaire lapidaire de l’intéressé : “Lol”.
Si vous n’avez pas suivi : « Attention manip : le “pacte 2012” de “l’Institut pour la Justice”. ».
Ce petit billet est dédié à maître Eolas qui est, et c’est moins connu, un vexillologiste-héraldiste. Nous y parlerons même de rugby, c’est dire la qualité de l’hommage. (Ce qui permettra au passage de corriger quelques imprécisions dans son billet d’octobre 2007.)
Alors que la France s’enlise dans le débat de l’identité nationale (qui doit répondre à la question existentielle des attributs qui font d’un noir ou d’un arabe un bon Français, si j’ai bien compris l’enjeu), à l’autre bout de la planète, la Nouvelle-Zélande est en plein débat de l’identité graphique nationale, en l’occurrence, rien de moins que son drapeau.
Il convient tout d’abord de rapidement connaître l’histoire de ce drapeau, qui débute de façon assez pittoresque.
[Lire la suite : “Histoire et avenir du drapeau de Nouvelle-Zélande”.]
Maître Eolas est opposé à la fessée.
Le châtiment corporel est d’un autre âge, y compris administré par les parents. Accepter la fessée comme normale, c’est accepter le premier échelon d’une échelle qui peut amener très vite trop haut. Car la fessée ne fait pas mal, et l’enfant finira par ne plus en avoir peur. Il faudra aller plus loin. Et quand il aura quinze ans et mesurera 1m80, que va faire le parent ?
Vous connaissez sans doute mon degré d’amour des enfants (et des chats) et vous pourriez donc présupposer de mon opinion sur le sujet, mais je n’ai en réalité pas d’avis ferme et définitif sur cette question éducative.
Cela dit, je tiens à préciser que je suis un fervent supporteur de la fessée entre adultes consentants.
(En savoir plus sur la fessée entre hommes : le CLEF.)
P.S. Jules se permet de disconvenir sur le fond juridique au jugement d’Eolas.
Vu chez Eolas.
.
Oui, pourquoi pas, mais, dans le cas, de quoi serais-je ministre ?
Il ne faut pas qu’Eolas gagne le pyjama de satin ! Votez Ron l’infirmier !, le seul encore capable de le rattraper.
Eolas ayant déjà gagné le pyjama l’année dernière, il faut que ça change !
Et, chers amis nonistes, n’oubliez pas qu’Eolas fut une éminente figure du soutien au “oui”. J’ai même entendu dire que c’était un copain de Bolkestein… N’oublie pas quand tu voteras.
(Quant à moi, tas de lecteurs ingrats et fainéants, je ne vous félicite pas…)
Maître Eolas est encore en vie et tient à le faire savoir. Zut.
Je reproduis un extrait de conversation enregistré il y a une dizaine de jour, en caviardant les noms pour que personne ne puisse reconnaître les intervenants :
Veuve Y*** : As-tu lu la lettre d’Eolas à Gilles de Robien ?
Laurent X*** : Mais, bien sûr, quel talent, ça m’écœure.
Veuve Y*** : Oui, quel style, quelle éloquence…
Laurent X*** : Arrête, ça me fait mal.
Veuve Y*** : Quelle efficacité dans le discours…
Laurent X*** : En plus, il parait qu’il a un vrai travail, mais, comment fait-il ?
Veuve Y*** : Drogué ?
Laurent X*** : Je ne sais pas, mais si c’est le cas, c’est de la bonne.
Veuve Y*** : En plus, quelle culture, on dit qu’il lit même Point de vue…
Laurent X*** : Alors que je peine tous les matins à déchiffrer Libé. Y en a marre.
Veuve Y*** : Et quelle répartie… As-tu vu la collection de commentaires brillants et incisifs réalisée par François ?
Laurent X*** : Ne m’en parle pas ! J’ai foutu mon projet de “troll d’or” à la benne rien qu’à cause de ça. Le Presse-Agrumes fait figure de primate à côté. Autant comparer la Vénus de Boticelli à celle de Lespugue.
Veuve Y*** : Heu, tu vires lesbienne ?
Laurent X*** : Mais non ! Je suis excédé par ce type. Il débarque de nulle part, je veux dire du prétoire, dans la blogosphère et tous les sunligths se braquent sur lui… Le pire, c’est que c’est mérité.
Veuve Y*** : Ouais, c’est moche, j’ai même entendu dire qu’il déchaînait les passions sexuelles, comme chez Samantdi par exemple. Pourtant… Ça te le fait, toi, Eolas ?
Laurent X*** : Si tu savais… Où il veut, quand il veut, dans toutes les positions… Il a complètement éclipsé le Loïc dans mes fantasmes.
Veuve Y*** : Argh ! Ne prononce jamais ce nom en face de moi.
Laurent X*** : Oups, désolé. Pourtant, je suis sûr, il fantasme sur toi en cuissardes avec un fouet.
Veuve Y*** : Revenons à notre sujet.
Laurent X*** : Je me sens si minable à côté. Il faut faire quelque chose.
Veuve Y*** : Je suis d’accord, tant de talent, c’est insupportable.
Laurent X*** : Sais-tu où il gare son vélocipède au Palais ?
Veuve Y*** : Non, mais cela devrait se trouver facilement… À quoi songes-tu ?
Laurent X*** : Si tu savais…
Veuve Y*** : [Sourire complice.]