Sous prétexte que je suis homosexuel, il y a des gens qui me considèrent comme un malade, un pervers. Ils ont de doux qualificatifs à mon égard : monstrueux, sodomite, diabolique, vicieux, pédophile, etc.
J’appelle ces gens des merdes. Il m’arrive d’être vulgaire. Pire que des cons, parce que dans la grande famille des cons, il y a aussi des gentils. Des gentils cons, qui n’en a pas connu… Et puis, il faut se méfier… on peut toujours être le con de quelqu’un d’autre.
Mais là, il y a de bonnes âmes qui surgissent : “On ne traite pas ses opposants de merde”. Il faut RESPECTER ceux qui ne sont pas d’accord avec vous.
Non, je suis navré, des gens qui veulent me voir enfermé, voire pire, ne méritent pas le début d’un commencement de mon respect qui est parcimonieux.
L’homophobie, le racisme, l’antisémitisme, etc., ne sont pas des opinions respectables et leurs porteurs ne sont pas des personnes respectables.
Je ne suis pas un saint, encore moins un chrétien, je ne tends pas l’autre joue… Je suis fait de chairs et de tripes, et ma vie aurait été sans doute plus facile sans toutes ces personnes, généralement animées par la religion, qui depuis toujours luttent contre le progrès de ma condition. Si l’on ne me respecte pas en tant qu’homme, je ne me ferais pas violence pour respecter mon oppresseur.
Respecter ces merdes voudrait dire donner un soupçon de compréhension et de tolérance à leur égard, d’être “ouvert” à leurs idées. Mon humanisme me l’interdit.
Où l’on découvre que l’essai contre le mariage gay et l’homoparentalité du grand rabbin de France, texte qui a beaucoup plus au pape, est aussi une imposture…
Plagiaire en série et faux agrégé… tricheur et menteur, voilà bien une belle autorité morale, un bel exemple pour la jeunesse.
Méfiez-vous toujours de ces corbeaux qui, au nom de dieu, veulent s’ingérer dans vos familles.
Par ailleurs, il semblerait que la saison de la chasse à l’homo soit ouverte en France. On parle de “printemps facho”…
Pire que dans une métropole chinoise, l’air de Paris semble irrespirable :
Ça fait des mois qu’on se réveille en entendant ces pantins de l’UMP et de l’église catholique nous chier à la gueule. J’étouffe, et pourtant je suis costaud, je suis militant, je suis entouré.
[…] Pour Erwan Le Morhedec, blogueur influent de la cathosphère [Koztoujours] et partie prenante aux manifestations, “le fait de cantonner les manifestants à des espèces de délinquants de la pensée et à des homophobes n’a fait que radicaliser les positions.” “Depuis le début, le gouvernement les a traités par le mépris et n’a même pas fait mine de ménager les apparences. On ne les écoute pas, au même titre que l’on n’écoute pas les racistes ou les négationnistes !”
Le Monde, Stéphanie Le Bars : “Mariage pour tous : les opposants rêvent d’un contre-Mai 68”.
Plus ces cons de cathos réactionnaires se radicalisent, plus ils se ridiculisent, plus ils dérapent (révélant leur nature profonde), et plus ils perdent du terrain.
Toutes les opinions ne se valent pas, nous sombrerions dans un relativisme de la pensée tout à fait toxique pour l’intelligence. Cependant, ces cathos homophobes partagent bel et bien avec les racistes et négationnistes des opinions qui sont de valeur égale, c’est-à-dire de valeur nulle. Et je crains que dans ces manifestations, il y ait une proportion statistiquement notable de cumulards, je veux dire de cathos homophobes, racistes et négationnistes (ou, pour le moins, un poil antisémites). Il s’agit là sans doute des relents de l’héritage chrétien de la France (dont le dernier avatar mémorable fut incarné par le pétainisme*).
Il n’y a pas à écouter ces gens, ils n’ont rien à dire d’intelligent, et le plus souvent, d’intelligible. Leurs “idées” ne méritent aucun respect particulier, si ce n’est celui dû à leur seule existence (elles sont dans le champ d’un dogme démocratique souverain souvent rétréci en France, celui de la liberté d’expression). Qu’ils braient tant qu’ils veulent, il n’en resteront pas moins des ânes.
Traitons-les donc avec le mépris qu’il convient, le spectacle qu’ils offrent en retour n’en est que plus divertissant.
—
(*) Et ce ne sera pas un hasard si ces crapauds de la pensée se manifesteront sans doute le jour d’une fête chère au Maréchal.
[…] Sans entrer dans l’analyse politique (assez facile à faire) de ces thèses, et de ce qui motive ces personnes à tenir de tels propos, je voudrais dire que moi, Abdellah Taïa, écrivain marocain homosexuel de 39 ans, vivant en France depuis 13 ans, je suis choqué et écœuré par ces paroles, ces dénégations. Par cette ignorance.
J’ai l’impression d’entendre des vieux Marocains attachés à un passé glorieux qui n’a jamais existé, à une identité fantasmée. Des membres de ma famille qui, une fois qu’ils m’ont bien insulté, me sortent l’argument majeur :
« L’homosexualité, ce n’est pas nous, ce n’est pas notre culture. Nous, nous sommes des musulmans. Des purs. Les autres ne connaissent pas Dieu. Ce sont des mécréants. »
Mais voilà : ce discours, qui mélange tout, le religieux comme le traditionnel, le racisme comme l’idéologie d’un autre temps, est complètement dépassé dans le monde arabe.
Au Maroc, au Liban, en Egypte et ailleurs, on a vu ces dernières années émerger des voix qui se battent pour faire exister les homosexuels arabes, les faire sortir de la honte où on les enferme, les protéger des lois injustes et des regards qui tuent.
Et ce ne sont pas seulement les associations arabes homosexuelles qui font ce travail. Les organisations des droits de l’Homme, notamment au Maroc, demandent la même chose : la reconnaissance des homosexuels comme individus, comme citoyens, et non comme des criminels.
[…] J’ose rappeler l’histoire arabe où l’homosexualité n’a pas été toujours condamnée. Certains des plus grands auteurs arabes, Abou Nouass (747-815), Al-Jahiz (781-869), Ibn Arabi (1165-1240), Ibn Hazm (994-1064), en ont parlé librement. Leurs livres sont encore étudiés dans tout le monde arabe.
J’ose redire ceci, qui me paraît la preuve simple de ce que j’avance : il existe, depuis à peu près six ans, un mot arabe et neutre pour désigner l’homosexuel. Ce mot est très simple : « Mithly ». Il est aujourd’hui utilisé partout dans le monde arabe, dans la presse écrite comme à la télévision.
Alors, quand j’entends ce discours sur l’homosexualité venant des Indigènes de la République, je suis tout simplement meurtri. J’ai l’impression de faire une double peine. Surtout, et c’est cela le pire, je me retrouve encore une fois en France face à l’ignorance totale de ce qui se passe dans le monde arabe. Se fonder sur ces visions erronées pour imposer un discours sur « les quartiers populaires », et au passage exprimer une homophobie latente, me paraît à la fois triste et dangereux.
Le mariage pour tous est d’abord l’égalité pour tous. Tous les Français de toutes les origines. Qu’ils habitent à Gennevilliers ou à Saint-Germain-des-Prés. C’est cette évidence historique qu’on devrait retenir. Et non pas fantasmer de nouveau sur un passé depuis trop longtemps révolu et sur des identités qui relèvent tout simplement de la fiction.
C’est une idée en vogue dans les milieux anti-impérialistes : si le mariage pour tous n’a pas la cote dans « les quartiers populaires », c’est parce que ses habitants — descendant en majorité de « colonisés », ne seraient pas sensibles à cette idée occidentale.
Alors que toute la France débat du mariage homo, StreetPress vous signale la parution d’un essai qui vient apporter de l’eau au moulin à cette surprenante théorie : Les féministes blanches et l’empire, signé Stella Magliani-Belkacem et Félix Boggio Ewanjé-Epée, aux éditions La Fabrique. Un petit livre vert (110 p.) dans lequel les deux auteurs affirment que « l’homosexualité, comme identité » est « une notion » occidentale qui n’est pas adaptée au monde arabe et africain. Et par « analogie », pas adaptée non plus à ceux qui en sont issus : les habitants des « quartiers populaires ».
Vous avez peut-être aperçu Stella Magliani-Belkacem à l’université d’été du Front de Gauche, ce mois d’août à Grenoble où elle était à la tribune pour s’exprimer sur « l’antiracisme et le multiculturalisme ». Félix Boggio Ewanjé-Epée — essayiste précoce puisqu’il n’a que 22 ans — est, lui, un ancien du NPA. Mais c’est surtout grâce à leurs activités dans le monde de l’édition qu’ils bénéficient d’une notoriété certaine dans le milieu anti-impérialiste. La paire a coordonné la rédaction du recueil Nous sommes les Indigènes de la République (Éd. Amsterdam, 435 p.) du mouvement du même nom. Stella Magliani-Belkacem est secrétaire d’édition dans la maison d’édition La Fabrique d’Éric Hazan.
Devant son expresso dans un bistrot de la rue de Belleville, Félix Boggio Ewanjé-Epée résume le leitmotiv du chapitre consacré à la question LGBT de son essai :
« Dénoncer la tentative de faire de l’homosexualité une identité universelle qui serait partagée par tous les peuples et toutes les populations. »
[…] Mais ce que dénoncent aussi les théoriciens de l’anti-impérialisme de La Fabrique, c’est que l’homosexualité est imposée comme identité dans des contrées où elle n’existerait pas. « Dans la tradition des identités arabes par exemple, cette notion-là a été importée », justifie Félix. Stella ajoute elle que les « les conditions matérielles à l’émergence de ce qu’on appelle l’homosexualité ne sont pas forcément réunies dans ces espaces. »
« C’est une question d’organisation de la famille et de la société. »
Ils ne nient pas la réalité de « pratiques homoérotiques », mais minimisent l’existence « d’un mode de vie homosexuel ». Un raisonnement qui vaut « par analogie » dans « les quartiers populaires. »
[…] Jointe par StreetPress, Houria Bouteldja, boss des Indigènes de la République, reprend à son compte la théorie de l’essai qui lui est dédicacé. Mais celle qui est régulièrement invitée par Frédéric Taddéï dans Ce soir ou jamais va encore plus loin en affirmant que « le mode de vie homosexuel n’existe pas dans les quartiers populaires. Ce qui n’est pas une tare » :
« Le mariage pour tous ne concerne que les homos blancs. Quand on est pauvre, précaire et victime de discrimination, c’est la solidarité communautaire qui compte. L’individu compose parce qu’il y a d’autres priorités. »
Bouteldja, qui prépare un article de 7 pages sur le sujet, d’ajouter que le choix de l’homosexualité est un luxe :
« C’est comme si on demandait à un pauvre de manger du caviar. »
Vous ne le saviez peut-être pas mais le projet de loi pour le faux « mariage » et l’adoption d’enfants par les répugnants sodomites est un projet de loi juif intégriste, comme en témoigne cette vidéo d’un site pro-invertis.
C’est effectivement la sénatrice juive intégriste Esther Benbassa, d’origine israélienne, qui a déposé ce répugnant projet de loi le 28 Aout. Affiliée au parti EELV (Europe Ecologie Les Verts), dont le président du groupe européen est le tristement célèbre pédophile juif intégriste Daniel Cohn-Bendit, elle ne cache pas mettre la pression aux parlementaires avec ses amis pour faire passer l’abjecte et dégoutante loi contre-nature.
Dans un billet où elle se lâche sur le sujet, elle se met par ailleurs à se moquer des Catholiques :
As-tu un peu pensé aux cathos qui sont furax, et à ces Français un peu timorés, qui ont peur que leurs enfants attrapent la maladie de l’homosexualité par les infos à la télé ?
Benbassa est née en 1950, à Istanbul, dans une famille descendante de Juifs expulsés d’Espagne en 1492. Elle a émigré en Israël à l’âge de 15 ans. Diplômée de l’université de Tel Aviv, elle a été naturalisée française en 1974. Elle possède donc la triple nationalité : turque, israélienne et française… Elle est considérée comme une spécialiste de l’histoire des juifs et milite activement pour les « minorités »… Pourtant, on se rappelle que la minorité Chrétienne arménienne en Turquie n’a pas vraiment été épargnée par les gens de sa race intégriste…
Tout le blogue est de la même eau. Avec deux obsessions : les juifs et les homos. Et beaucoup de respect pour l’évêque Williamson.
Que les Intransigeants se rattachent à des traditions de pensée obscurantistes, rejetant toute évolution intellectuelle ou politique postérieure au Moyen-âge, n’est pas une surprise en soi, puisqu’ils le revendiquent. De fait, au contraire de sites identitaires non catholiques, je ne pense pas que le site des Intransigeants puisse provoquer chez le visiteur athée et démocrate moyen aucune forme de doute ou de remise en cause. Manifestement, en revanche, à en juger par les commentaires, ce sont les catholiques plus modérés, les « conciliaires », qui sont mis mal à l’aise par cet éclairage brutal porté sur les incompatibilités entre dogme et modernité. Hélas, ce n’est pas pour autant qu’ils semblent prêts à en tirer les conséquences.
Le nom du blogue est, j’imagine, une référence au catholicisme intransigeant. Et oui, d’une certaine façon, l’intransigeantisme met en lumière de façon caricaturale la pensée viscéralement réactionnaire du catholicisme.
Et lorsque l’on voit Benoît XVI persévérer à dragouiller la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X de Mgr Bernard Fellay, on peut se dire que la lumière n’est pas pour demain.
Nous avons beaucoup d’ennemis, beaucoup d’ennemis. Mais regardez, et c’est très intéressant. Qui, pendant tout ce temps, était le plus opposé à ce que l’Église reconnaisse la Fraternité ? Les ennemis de l’Église. Les Juifs, les francs-maçons, les modernistes ! Les plus opposés à ce que la Fraternité soit reconnue comme catholique : les ennemis de l’Église ! — Mgr Bernard Fellay, 28 décembre 2012.
[…] Alors que Civitas investit la rue des Gobelins, Catherine Blein, 66 ans, ex-présidente de l’association « Nationalité, citoyenneté, identité » (NCI), créée pour « lutter contre l’islamisation de la France », s’accorde une pause café au comptoir. Partie de Bretagne en car à 5 heures du matin, elle ne cache pas son agacement : « On nous a laissé poireauter 2 h 30 dans le froid, avec des enfants, on se moque de nous ». Imperméable, chapeau assorti et petite lunettes, elle refuse de dire à qui elle a donné sa voix en mai dernier. Puis se rétracte : « Marine, puis Nicolas Sarkozy ». Pourquoi défiler dans les rangs de Civitas ? « Nous, on est plus traditionalistes ». Et Frigide Barjot, la « bobo de droite », en reprend pour son grade : « Elle emploie le vocabulaire de la gauche pour parler de l’homophobie ».
Les homos ? « Ils sont seulement 2 % de la population, qu’ils fassent ce qu’ils veulent de leur cul, mais vous allez pas me dire que c’est naturel d’être homosexuel, c’est contre-nature ». D’un air entendu, elle ajoute : « Je suis convaincue qu’ils souffrent du fait de ne pas être hétérosexuels ».
[Couple hétérosexuel à la Porte Maillot. Photo X.]
[Reuters] Les partisans de la fierté homophobe défilaient en France dans quatre cortèges qui ont convergé vers le Champ-de-Mars à Paris ce dimanche 13 janvier. Les organisateurs, un collectif soutenu par l’Église catholique et l’opposition d’extrême-droite, ont été les premiers à sortir leur estimation du nombre de manifestants, 800.000, tandis que la police a répliqué peu après en estimant la mobilisation à 340.000 personnes.
Il s’agit d’une forte mobilisation puisque la police tablait selon Le Parisien sur une foule d’entre 150.000 et 300.000 personnes. La mobilisation est également bien plus importante que lors des dernières manifestations organisées pour la fierté homophobe, le17 novembre 2012, qui avaient rassemblé 100.000 personnes dans tout le pays dont seulement 70.000 à Paris.
La manifestation d’aujourd’hui est en revanche plus petite que celle de 1984 pour l’école catholique, qui avait fini par faire plier le gouvernement socialiste avec 850.000 personnes selon la police et 1,5 million selon les organisateurs. Cette mobilisation est utilisée comme référence, car elle était majoritairement de droite, comme celle d’aujourd’hui.
L’archevêque de Paris, Mgr André Vingt-Trois, s’est rendu en fin de matinée à Denfert-Rochereau pour manifester son « soutien » et ses encouragements aux partisans de la haine et de l’exclusion.
Pour Jean-François Copé, le président du grand parti d’extrême droite UMP, « le message adressé à Hollande est d’une puissance considérable » et il a salué la manifestation comme une « belle photo de famille ». Un porte-parole de la manifestation déguisé en homosexuel, Xavier Bongibault, a comparé le président de la République avec Adolph Hitler, renouvelant ainsi ses déclarations du 17 novembre 2012 : « C’est s’inscrire dans la droite ligne d’un homme que l’Allemagne a bien connu à partir de 1933 ».
D’autres figures de l’extrême-droite française, comme Xavier Bertrand, Brice Hortefeux, Valérie Pécresse, Bruno Gollnisch, Laurent Wauquiez, Marion Maréchal-Le Pen, Henri Guaino, Christine Boutin, Philippe de Villiers, Claude Guéant, et Jacques Bompard, étaient également en têtes d’affiche de cortège.
Des blogueurs catholiques extrémistes, comme Koztoujours, couvraient en direct la manifestation sur Twitter.
Peut-on « guérir » l’homosexualité ? Des psychologues et des thérapeutes du Québec et d’ailleurs soutiennent que oui. Ils proposent de « réorienter » des personnes qui vivent difficilement leur homosexualité. Thérapies en tête-à-tête, par Skype, par téléphone ou par l’entremise de Jésus : tous les moyens sont bons pour essayer de changer l’orientation sexuelle d’un patient. Certains suggèrent des séances d’une heure par semaine pendant deux ans… pour un coût total de 12 000 $.
La première consultation a lieu en périphérie d’Ottawa, dans une rue déserte. Viviane Castilloux, psychothérapeute pour l’organisation Thérapie chrétienne Outaouais, accueille dans le sous-sol de sa maison des hommes et des femmes aux prises avec un problème d’identité sexuelle. Sa spécialité : les thérapies de réorientation.
« La parole de Dieu est claire : l’homosexualité est une tentation et ce n’est pas quelque chose qu’Il encourage, dit-elle d’emblée avec assurance. Si tu veux t’en aller dans l’homosexualité et décider d’être bien là-dedans, je te respecte, mais c’est là que je ne serais plus compétente. Ma compétence est dans le sens inverse. »
Assise confortablement, Viviane Castilloux, membre de l’Association ontarienne des consultants, conseillers, psychométriciens et psychothérapeutes, explique que l’attirance pour les personnes du même sexe n’est qu’une « tentation » parmi tant d’autres. La mission de chaque individu sur Terre est donc de vaincre la sienne.
« Tu es né dans le péché, dans le mal du monde, poursuit-elle. Jésus-Christ est là et il te dit : “Rapproche-toi de moi et je vais te donner la chance de combattre ça.” »
[…] Si Thérapie chrétienne Outaouais, qui compte dans ses rangs au moins trois thérapeutes québécois et ontariens licenciés, s’adresse exclusivement à la population chrétienne, Jonah International prête main-forte aux juifs homosexuels du monde entier depuis 1999. Avec un réseau d’intervenants en santé mentale qui travaillent principalement aux États-Unis, le codirecteur de l’association, Arthur Goldberg, vend des thérapies par webcaméra, à l’aide du logiciel Skype.
[…] Mais rien n’est insurmontable. Selon M. Pickup, une heure de thérapie par semaine pendant deux ans — au coût de 120 $ la séance — et une volonté d’acier mèneront tout client au succès. Toutefois, comme les rencontres se déroulent à distance et dépendent d’outils technologiques, le patient « doit reconnaître que les consultations par téléphone et télévidéo peuvent ne pas s’avérer aussi efficaces que des séances face à face », comme l’indique le Dr Pickup dans son formulaire de consentement.
Aryeh Dudovitz tient le même discours. Même s’il n’est pas psychologue, son approche est tout aussi efficace, promet le rabbin âgé de 47 ans. Puisque « les contraires s’attirent », un homosexuel doit passer plus de temps avec d’autres hommes afin d’être tenté par le sexe opposé. De plus, le concept d’homosexualité n’existe pas, assure M. Dudovitz en thérapie. « Si tu n’en fais pas ton identité, ça ne te définit pas. Est-ce que tu es un homosexuel ? Est-ce ton identité ? Ou bien ton identité primaire, c’est d’être un homme ? » […]
La justice vient d’annuler l’agrément accordé pour cinq ans à SOS Homophobie par le ministre de l’Education nationale, en juillet 2009. Cet agrément permettait à l’association d’intervenir dans les collèges et les lycées au titre des « associations éducatives complémentaires de l’enseignement public ».
Le tribunal administratif de Paris, qui a décidé cette annulation le 23 novembre dernier, avait été saisi en octobre 2009 par la Confédération nationale des associations familiales catholiques (CNAFC). Cette dernière considérait notamment que les interventions en milieu scolaire de SOS Homophobie « méconnaissent les principes de neutralité politique et philosophique, de liberté de conscience, de laïcité et du droit des parents sur l’éducation de leurs enfants ».
Dans le cadre de ce litige, le tribunal administratif a examiné les contenus du « module de sensibilisation » porté à la connaissance des élèves par SOS Homophobie. Le tribunal constate que la « formulation de certaines des réflexions de ce document est susceptible de porter atteinte aux convictions religieuses et philosophiques tant des élèves que de leurs parents ou des enseignants ». Il estime aussi que certaines analyses de témoignages de SOS Homophobie sont « insuffisamment nuancées pour ne pas porter atteinte au principe de neutralité ». En clair, le tribunal considère que le ministère de l’Education nationale, qui devait contrôler le contenu des ces interventions, a commis une « erreur d’appréciation ».
Même crasse bêtise dans leurs petits cerveaux de connes.
La seule différence est dans la vitrine, Menie faisait bourge versaillaise, Frigide Barjot fait salope vulgaire.
J’en conclus que nous vivons effectivement dans une époque de perte de repères : il ne faut plus se fier aux apparences.
Avec ses talents de caméléon, l’inquisition catho-bourgeoise a encore de beaux jours devant elle en France.
« Imaginez que l’homosexualité devienne un modèle social et bien je ne sais pas, nous nous serions très vite pas reproduits. Il y a tout de même là quelque chose, il y a une norme de vie, il y a tout de même une négation de la vie ou des lois de la vie dans l’homosexualité. Il me semble qu’on peut répondre cela sans blesser personne. Il me semble. » — Menie Grégoire, 10 mars 1971.
Allez lire ce qui se disait dans les médias généralistes, comme ici à RTL. Même merde, mêmes acteurs (réacs, cathos et psys), même puanteur.
Maintenant plus très jeune, je pensais que la radicalité n’avait plus trop sa place dans une société plus pacifiée et tolérante.
J’avais tort. Car il n’y a pas de débat à avoir avec l’obscurantiste, le raciste ou l’homophobe. La seule réponse est une opposition aussi constante que farouche.
Laissez les boas et les triangles arc-en-ciels au placard jusqu’au mois de juin. Marchez en rang. C’est la détermination de vouloir changer la société qui donnera le meilleur exemple de solidité du mouvement. Certainement pas la concentration de paillettes au m2. — Chris Tophe.
L’hétéronormatif. Et loin d’être seul.
Fatigue. Grosse fatigue.
Vous faites comme Civitas, vous dénoncez “homofolie” et refusez le pluralisme dans la société. Mais bien sûr, ce n’est absolument pas homophobe. Faites comme Frigide Barjot et donnez directement un dress-code, ça fera de belles photos pour votre album de famille “Hiver 2012, découverte du militantisme”. — Anaïs William.
Putain les pédés vous êtes en train de devenir encore plus graves que les hétéros. Laissez nous être folles. J’ai pas à être intégré dans un modèle hétéro pour avoir des enfants. Laissez moi mes vestes à épaulettes et mon vernis ! — Jeremias Ghinzu Boulanger.
A toutes les personnes qui n’arrêtent pas d’ordonner de montrer le bon exemple en évitant de choquer je dirai : 1. commencez par montrer le bon exemple en acceptant vos soi-disant “soeurs” tels qu’ils et elles sont. 2. arrêtez de penser que c’est notre apparence qui est à l’origine de l’homophobie etc… si vous croyez que l’homophobie cessera et qu’on nous prendra au sérieux si on était tous habillé-e-s de manière “respectable”… alors vous vous trompez… 3. si seulement vous saviez comme ça peut être violent d’être désigné par son propre camp comme responsable de l’homophobie d’en face… Alors merci de plutôt vous concentrer sur nos ennemis plutôt que sur la couleur de la robe que je porterai le 16… — Youssef Lab.
Qu’on soit folles, butch ou autre on a tous et toutes le droit de manifester et la follophobie vous pouvez vous la mettre où je pense. Si vous êtes assez demeurés pour vous dire que tout est de la faute des folles ou des butch je pense que c’est trop tard pour vous. — Morgane Brugaillère.
Aujourd’hui se réunissait le Défilé de la fierté homophobe à Paris, France.
[…] Afin de «protéger» les manifestants de toute caricature, Frigide Barjot a enfin fait passer des consignes de «dress code». Plutôt que l’écossais ou le bleu marine, la «catho branchée» prescrit du «bleu, blanc, rose». Elle suggère de troquer les pantalons en velours contre des jeans, les mocassins contre «des baskets ou des rollers», le tweed contre «le cuir» et de venir avec force poussettes, ballons… «Pour madame, cheveux lâchés négligemment chiffonnés, soutiens-gorge pigeonnants, carrés Hermès et serre-tête prohibés, s’amuse cette «catho provoc». Pour monsieur, barbe naissante obligatoire, raie sur le côté et pochettes Sulka oubliées. Chevalière autorisée uniquement en perfecto. Pour les enfants, Cyrillus s’abstenir. Les ados comme d’habitude, avec des trous en plus dans le jean.»
Il n’est pas certain que tous les contestataires aient à la garde-robe appropriée.
Le Figaro, Agnès Leclair : “Mariage gay: une manif au « dress code » très strict”.
Le Code civil ignorera désormais les deux piliers de l’identité humaine : la sexuation et sa conséquence, la filiation. C’est la structure de nos familles, de notre société, de notre humanité qui va s’en trouver radicalement altérée. Les enfants seront les premières victimes d’une telle loi car elle les privera de leurs vrais parents.
Institutionnaliser ce principe sera dramatique pour nombre d’entre eux. Nous devons les en protéger. Une véritable révolution juridique et anthropologique se prépare sans que personne ne la nomme : l’instauration d’un nouvel ordre sexuel dans notre société. Nous sommes convaincus que, au fond d’eux, les Français n’y sont pas favorables.
On se souviendra avec émotion des mots inoubliables de Marie-Thérèse à la manifestation du Collectif pour la famille à La Défense : “Oh la la, c’est la décadence, si cette loi est votée, on attire une condamnation sur notre société. La colère de Dieu va s’abattre sur la France”.
J’ai trouvé un pédé catho dans la liste des “personnalités” soutenant la “Manif pour tous”. J’ai voulu en savoir plus… Et j’ai découvert une argumentation assez gratinéee (la citation est longue car je ne voudrais pas trahir sa pensée) :
[…] Quand prendrons-nous conscience que la communauté homosexuelle ne profitera absolument pas de ce changement sociétal mais qu’au contraire il le lui sera imputé, et que la note risque d’être salée ? Ce n’est pas moi qui l’invente. Toute loi universelle particulariste, inutile ou inadaptée à la réalité des personnes qu’elle est censée servir, s’est révélée historiquement catastrophique pour elles.
Pensons par exemple aux mouvements féministes, qui ont contribué encore plus à transformer les femmes en objets.
[…] De plus, si la loi est promulguée, les législateurs français mettront les personnes homosexuelles dans une position très inconfortable d’« époux » et de « parents » (sans parler du bordel sans nom que sera la « co-parentalité » à rallonge en cas de divorce !), époux et parents qu’elles ne sont pas et qu’elles ne seront jamais en couple homo, non parce que la société le leur interdirait, mais parce que leur corps et leur amour ne peuvent objectivement pas les porter, et aussi parce que les réalités humaines de la conjugalité, de l’adoption, et de la filiation, ne tiennent pas à coup de bonnes intentions, ne sont pas uniquement affaire de sentiments ou d’éducation : elles concernent la Réalité anatomique et symbolique de l’être humain dans sa globalité ! N’oublions pas que par nature, le couple homosexuel n’est pas procréatif, et que concrètement, les couples homos réels sont dans leur grande majorité compliqués, usants, insatisfaisants, parfois même violents, en tous cas fragiles (et qu’on le veuille ou non, plus fragiles que beaucoup de couples femme-homme aimants : vous lirez mon livre L’homosexualité en vérité et les passages sur l’infidélité et le manque d’incarnation des unions homosexuelles si vous en doutez encore). Qui ose reconnaître les limites objectives de la structure conjugale homosexuelle, à part les couples homos les plus stables ?
[…] Le monde découvrira les atteintes à la dignité humaine, aux vrais pauvres, aux enfants, à la société, aux personnes homosexuelles elles-mêmes, que des mythologies identitaristes et amoureuses (telles que le coming out, le « couple » homosexuel) et que des lois carnavalesques et irréalistes (telles que le mariage ou l’adoption) ont poussé les individus homos à commettre. Et le retour de boomerang homophobe ne se fera pas longtemps attendre ! Les personnes homosexuelles seront, comme au bon vieux temps du Berlin homosexuel des années 1930-1940, jetées en pâture à la vindicte populaire. On les suspectera d’opportunisme, d’arrivisme, d’avoir joué les victimes pour satisfaire des caprices qui ne rendent pas service à la société (parce qu’il y a quand même un monde entre la « discrimination » de se voir refuser un « droit à se marier » irréaliste et les discriminations sociales concrètes engendrées par la crise économique, par exemple !). Les communautés culturelles étrangères présentes en France, très centrées sur la perpétuation des générations, et culturellement pas du tout sensibles aux sentiments dans la composition des couples, verront d’un très mauvais œil l’impasse généalogique du couple homosexuel, le non-accomplissement de sa dette humaine sociale : certaines sont du genre à traîner la communauté homosexuelle en procès de Crime contre l’Humanité, contre la Nature et même contre Dieu ! Pour elles, l’union homosexuelle est un « individualisme à deux » qui joue le jeu des riches, des impies, de la débauche, des divorces, de la prostitution, de la société matérialiste, des dictatures humaines idolâtres à éradiquer.
L’homophobie qui s’abattra comme une foudre sur la communauté homosexuelle n’arrivera évidemment pas que de l’extérieur. Elle viendra précisément de l’intérieur, comme c’est déjà le cas actuellement dans le panier de crabes qu’est la communauté LGBT internationale. Leurs ex-amants traiteront les personnes homosexuelles de tous les noms, les maudiront, les ignoreront. Et le cortège d’agneaux carnivores bêlants (devenus adultes !) frappera violemment à la porte du Centre LGBT le plus proche pour se plaindre de l’irréalité de l’amour homosexuel, de la supercherie de l’homoparentalité (qui ne sera jamais une parenté), des nombreux manquements à l’Amour des personnes homosexuelles (viols, incestes, pédophilie, agressions homophobes entre personnes homosexuelles, suicides, prostitution, corruption, tourisme sexuel, marchandage des corps, mutilations chirurgicales, dictature et censure politiques, etc. : je renvoie les sceptiques ou les outrés à mon Dictionnaire des Codes homosexuels sur le site www.araigneedudesert.fr). « Vous nous avez trompés sur l’Amour, sur l’identité humaine, sur l’homophobie, sur la victimisation ! Ne vous plaignez pas, engeances d’hypocrites ! » vocifèrera la communauté hétérosexuelle. « Ne vous qualifiez plus d’homosexuels ! Vous êtes comme nous : des amoureux indifférenciés, et même pas sexuels ! Vos gueules ! Ne rentrez pas dans le ghetto communautariste marchand gay ! » s’insurgera la société bisexuelle queer secrètement homophobe. « Vous m’avez menti sur la réalité de ma conception. Vous m’avez privé de la Réalité, de mon père, de ma mère, de l’amour dans la différence des sexes ! » incriminera l’enfant né dans un couple de même sexe. « Vous m’avez exploitée et volé mon bébé ! » dira la mère-porteuse qui, quelques années auparavant, avait pourtant accepté bon gré mal gré le chèque donné par le couple homosexuel pour entamer une GPA. « Vous m’avez utilisé et violé ! » s’exclamera le prostitué. « Vous avez détruit mon couple et ma famille ! » menacera le père de famille bisexuel. « Tu ne m’as jamais vraiment aimé tel que je suis ! » hurlera l’amant vexé et vengeur. Oui, le désir homosexuel pratiqué et banalisé par une civilisation en perte de repères n’engendre pas de petites frustrations ni de guerres mineures ! C’est un ouragan. Tenons-nous-le pour dit !
[…] Je ne suis pas en train de rêver le malheur des personnes homosexuelles, de sombrer dans un catastrophisme déplacé, ou d’attiser un feu allumé davantage par mon alarmisme que par le réel. Seulement voilà, je ne peux pas ignorer les conclusions qui s’imposent sur les actes homophobes violents qui ont lieu partout dans le monde, et en particulier dans des pays gay friendly où on ne les attendait absolument pas. Les bars gay incendiés récemment par des islamistes à Rotterdam, ce n’est malheureusement pas du mythe : ça se passe aujourd’hui ! Je ne peux pas non plus garder pour moi les découvertes que j’ai faites sur les mécanismes paradoxaux de l’homophobie, et sur les crimes homophobes, si rarement analysés et problématisés.
Donc par pitié, au nom de mes frères homosexuels, dont beaucoup sont aveugles et ne voient pas le cadeau empoisonné qui leur est fait, protégez-nous de cette loi ! Nous en serons les premières victimes (consentantes) !
En 2011, il décide de vivre sa sexualité dans la stricte continence, en arrêtant la drague, la masturbation et la pornographie, dans « un don total à Dieu et à l’Église »
On ne peut pas dire qu’on aime Dieu si on n’aime pas l’Église et ses chefs. Si on pense qu’on peut accéder à Dieu sans le Pape et son institution, on a finalement une foi très individualiste désincarnée. On n’a rien compris de Dieu et de son Incarnation, de Dieu et de son amour pour les Hommes.
L’homosexualité est un condensé/symbole de toutes les souffrances/violences humaines possibles et imaginables. C’est pour cela que, lorsqu’on l’aborde en société, on s’expose au déferlement de révolte d’un sanglier blessé.
Philippe Ariño, Ibid.
Le secret pour être libéré de la masturbation et des histoires d’amour homos (même dites “spirituelles et pas d’abord sexuelles”), c’est l’Amour du Pape, de l’Ancien Testament en plus du Nouveau, des catholiques ouverts autant que des coincés et des hypocrites, de l’Église autant que des gens d’Église (côté saint Pierre repentant, et non Judas refusant d’être aimé par-delà son péché). C’est le seul moyen, je crois, pour arrêter la masturbation et les “trip” sentimentaux homosexuels. Il faut aimer, comprendre et vivre la continence sans négocier avec soi-même. Si on négocie avec ses intentions, ses sentiments, et ses sensations, on replonge.
Philippe Ariño, Ibid.
Tous ceux qui pratiquent les actes homosexuels sont homophobes. Que ça leur plaise ou non. C’est un constat que je fais sans arrêt. Ça ne loupe jamais.
Philippe Ariño, Ibid.
Si je vivais pas ce que je dis, actuellement, je deviendrais complètement fou.
Philippe Ariño, Ibid.
Quel esprit torturé. On ne peut constater les ravages psychiatriques du virus catho sur un homosexuel. Je voulais être méchant, mais Philippe Ariño inspire en fait la pitié.
Certains parlent du lobby gay… Ce qu’ils ne savent pas, les innocents… c’est que ce lobby n’est que la petite partie visible d’un gigantesque iceberg menaçant qui attend patiemment son heure de faire sombrer la civilisation hétérosexuelle.
J’ose aujourd’hui briser le mur du silence, l’omerta qui œuvre dans la mafia gay : la majorité des homosexuels sont membres d’une confrérie ultra-secrète, à l’échelle du monde, avec un unique et ultime but, la tyrannie de la débauche.
Songez-y : ils sont partout, ils ont infiltré toutes les sphères de la société, et notamment celles du pouvoir. Ils sont dans la politique, les armées, la finance. Certains sont dits “au placard” alors qu’ils sont en réalité “under cover” à noyauter tous les rouages de nos sociétés. Et ce, aux quatre coins de la planète. Ils ont un plan, leurs signes de reconnaissance, leur littérature secrète et leurs stratèges de la terreur.
Il faut bien savoir que cette franc-maçonnerie de la jaquette organise la domination fasciste du modèle homosexuel sur le monde.
Imaginez-vous les effets de cette dictature ? L’hétérosexualité sera décrétée “déviance animale”. Les femmes, premières victimes, seront obligées de choisir entre un mode de vie lesbien et des camps d’élevage humain où elles seront inséminées de force. Les hommes rétifs à perdre leur virginité anale seront déclarés inaptes et envoyés dans d’immenses camps de redressement où ils subiront un lavage de cerveau à coups de cours de couture et de danse classique. Les plus héroïques des Résistants seront torturés : attachés sur une chaise, ils devront écouter les discographies intégrales de Dalida, Madonna et Lady Gaga des jours durant. Les enfants seront conditionnés dès le berceau à la confusion des genres. Ne riez pas, il y a déjà des expériences menées. Cherchez “Genderless Child” dans votre moteur de recherche si vous ne me croyez pas. Notre-Dame de Paris sera transformée en immense discothèque techno et les catholiques devront se réfugier dans les caves et les catacombes, renouant ainsi avec le temps de la clandestinité des premières églises de la Rome décadente. Les milices de la gaystapo contrôleront l’espace public à la traque de tout signe chrétien. Les frontières nationales seront abolies au profit d’un gouvernement mondial de la dépravation au service unique de la lubricité et de la pornographie cosmopolite. Nos guerres héroïques et champs de bataille seront remplacés par des partouzes géantes, nos armées par des bataillons de Thèbes.
Des saintes femmes comme Christine Boutin ou de grands penseurs du siècle comme Serge Dassault ont lancé des avertissements, mais ils se sont heurtés à un mur, celui des médias sous l’entier contrôle des homos, médias qui n’ont eu de cesse de travestir le message et de ridiculiser les messagers. Même des humanistes de gauche, comme Lionel Jospin, sont courageusement sortis du bois pour défendre l’essence même de l’humanité, l’altérité divine de l’union d’un homme et d’une femme…
Le “mariage gay” n’est que la première et modeste étape de ce plan luciférien. Vous pouvez avoir peur. Mais, le savoir est une arme !
Comme pour la lutte contre le racisme, l’intégration d’une minorité dans la société ne peut se faire qu’en s’efforçant d’éliminer l’ignorance et les préjugés. Or, l’école est un milieu où les valeurs des jeunes prennent forme et où l’ignorance cède la place à la connaissance. C’est pourquoi le GRIS-Montréal a choisi de s’adresser principalement aux jeunes en milieu scolaire afin de leur offrir en priorité ses services de démystification de l’homosexualité et de la bisexualité.
Ryan joined the Boy Scouts when he was just six years old, and since then, he’s dreamed of earning his Eagle award — the highest rank in the Boy Scouts.
Ryan is now a senior in high school, and just completed the final requirements to earn his Eagle Award. He’s an honor student with great SAT scores, who’s hoping to attend the University of San Francisco. But because he recently came out to his friends and family as gay, leaders from your troop say they won’t approve his Eagle award.
This is unfair and wrong.
A Scout earns his Eagle by earning many badges, completing all lower Scout rank requirements, and carrying out an approved final project. So Ryan decided to build a “Tolerance Wall” for his school, to show bully victims — like Ryan — that they are not alone. Ryan worked countless hours with elementary students to amass a wall of 288 unique tiles, all illustrating acts of kindness.
Many troops around the country are standing up, choosing to reject the Boy Scouts’ discriminatory policy. I sincerely hope that Ryan’s troop — Troop 212 — will become one of them.
“Citizenship in the Community,” a merit badge earned, means standing up for what is right, and I am proud of Ryan for doing just that. Will you stand with him, too?
Though our business and employees are located in offices around the world, our policies on non-discrimination are universal throughout Google. We are proud to be recognised as a leader in LGBT inclusion efforts, but there is still a long way to go to achieve full equality. Legalise Love is our call to decriminalise homosexuality and eliminate homophobia around the world.
At Google, we encourage people to bring their whole selves to work. In all of our 60 offices around the world, we are committed to cultivating a work environment where Googlers can be themselves and thrive. We also want our employees to have the same inclusive experience outside of the office, as they do at work, and for LGBT communities to be safe and to be accepted wherever they are.
Ses détracteurs moquent volontiers l’outrance de ses propos et sa grammaire approximative. D’autres soulignent sa capacité de nuisance, à l’instar du site Queerty qui le présente comme le « visage diabolique de l’Amérique homophobe de demain ». Retenez bien son nom : Caiden Cowger. En deux petites semaines, les déclarations chocs de cet adolescent d’à peine 14 ans de la Virginie-Occidentale en ont fait la nouvelle coqueluche des chrétiens conservateurs et l’ont propulsé sur le devant de la scène médiatique Outre Atlantique.
Cette célébrité fulgurante, le jeune Caiden la doit à une petite phrase qui a connu un retentissement national. « Le président Obama rend les enfants gays », a-t-il lâché le 26 mai dernier pour conclure son émission. Car le sale gosse homophobe made in USA a son propre terrain de jeu : un site baptisé modestement Caiden Cowger Show, qui lui permet de vomir deux fois par semaine, les mercredi et vendredi soirs à 19h pétantes, sa haine de l’Amérique libérale. Son compte Facebook est suivi par plus de 4000 internautes et il a déjà publié un livre intitulé Être un jeune conservateur.
Au cours de son show, Caiden Cowger s’attaque d’abord à Born this way, l’hymne homo de Lady Gaga : « L’homosexualité est une croyance, ce n’est pas quelque chose qui fait partie de soi. Ces gens ne sont pas “nés comme ça”, quoi qu’en dise Lady Gaga ». Puis il déverse sa haine sur d’anciens amis d’enfance sortis du placard par la suite : « C’est de pire en pire. Là où je vis, il y a environ 30 adolescents qui sont homosexuels. Des filles et des garçons. C’est écœurant. Ça me dégoute. Vous savez quoi ? J’étais ami avec certains d’entre eux quand on était à l’école ensemble. Ils n’étaient pas homos. Ils ont juste décidé de le devenir ».
Pour lui, le coupable est tout désigné : « S’ils sont devenus homosexuels, c’est parce qu’on les y a encouragé. Le président Obama dit : C’est normal, c’est “okay”, vous êtes nés comme ça. Ça va aller mieux. Vous pouvez vous marier », s’indigne-t-il. En référence à la récente prise de position - personnelle - du président américain en faveur de l’ouverture du mariage aux couples gays et lesbiens.
Cette longue tirade homophobe a provoqué un véritable tollé aux États-Unis. […]
L’abbé Guy Pagès, prêtre catholique du diocèse de Paris, est en mission d’évangélisation sur Internet et sur YouTube en particulier, avec l’accord bienveillant de l’archevêché semble-t-il. Il est considéré comme une “star de l’apologétique catholique sur Internet”…
[…] La théorie du genre est une nouvelle expression du péché originel, cette recherche de liberté qui croit ne pouvoir s’affirmer que dans la révolte contre le Créateur regardé comme nous imposant Sa loi en choisissant pour nous d’être homme ou femme. Mais s’il faut accuser Dieu de nous avoir créé sexués, pourquoi ne pas L’accuser aussi de nous avoir créés sans notre accord, et en conséquence se suicider ? A vouloir scier la branche qui nous porte et nous relie à Dieu, que peut-il nous arriver, sinon la chute ? La chute dans l’horreur du non-amour aussi vrai que l’autosuffisance narcissique de l’homosexualité enferme l’individu dans l’impossibilité d’aimer, c’est-à-dire de se donner, et de se donner nécessairement à autrui, à autrui dont l’altérité est précisément inscrite dans son corps. Chute qui entraine toute la société dans la mort, aussi vrai que l’homosexualité est par nature stérile.
Si la procréation n’est pas la seule fin de la sexualité, mais naturellement la principale, puisqu’il n’y a pas de procréation sans sexualité, l’orientation sexuelle de l’humanité ne peut être que l’hétérosexualité. « Bi, trans et homo » ne sont donc pas de simples « orientations sexuelles », comme on ose maintenant l’enseigner, mais des perversions sexuelles, qui, comme telles, damnent ceux qui les adoptent. […]
Certaines de vos positions - et celles de la Droite populaire - font parfois penser au Tea Party américain. Qu’en pensez-vous?
Je ne comprends pas cette comparaison. Nous n’avons aucune espèce de contact avec le Tea Party. Le lobby gay, extrêmement puissant en France, inverse complètement les rôles : ce n’est pas nous qui sommes proches du Tea Party, mais bien ce lobby, qui reprend la théorie du genre, qui vient justement des États-Unis!
À vous écouter, ce lobby serait donc à l’origine des passages que vous critiquez dans ces manuels scolaires…
Cela me paraît évident. En France, le poids du lobby gay à un certain nombre de niveaux décisionnels est considérable. On savait déjà que c’était le cas en politique et dans les médias. C’est une évidence. Manifestement, il y en a aussi chez certains éditeurs!
Elle s’appelle Stacy Trasancos et vit dans le Royaume de Sodome Massachusetts.
This is my community. I find myself unable to even leave the house anymore without worrying about what in tarnation we are going to encounter. We are responsible citizens. We live by the rules, we pay our taxes, we take care of our things. I’m supposed to be able to influence what goes on in my community, and as a voter I do exercise that right. But I’m outnumbered. I can’t even go to normal places without having to sit silently and tolerate immorality. We all know what would happen if I asked two men or two women to stop displaying, right in front of me and my children, that they live in sodomy.
Je n’en peux plus de l’anti-folle, du vivons caché, de la discrétion dans la manière dont j’affiche l’affection à mon chéri en public, et de toutes ces pressions sociales qui obscurcissent notre simple liberté d’être, d’aimer, de nous exprimer. Dans mon propre quartier, je fais attention à mes gestes envers mon amoureux pour ne pas me faire repérer et, avouons-le, par pure couardise. Et là encore, l’homophobie est au coin de toutes les rues, même à Paris, même dans mon quartier bobo.
C’est bien pour cela que nous devons de l’admiration pour ceux qui vivent au grand jour, ceux qui s’affichent, ceux qui osent, ceux qui risquent. Oserai-je dire “ceux qui ont les couilles” d’être au regard de l’autre ce qu’ils sont, ceux qui refusent le mensonge… Un hommage à toutes les folles qui ont été en première ligne de combat, à toutes les autres qui sont là, dans nos familles, dans nos entreprises, dans les rues, dans nos défilés, de cuir, de latex, de paillettes ou de plumes, malgré les tapettes moralisatrices, normalisatrices, intolérantes et honteuses.
Il n’y a rien de pire que l’homophobie homosexuelle. C’est un couteau planté dans le dos par ton frère d’armes.
Ces affiches, dont la plus provocante montre deux joueurs de hockey sur le point de joindre leurs lèvres, ont été enlevées la semaine dernière des babillards syndicaux par la direction de l’entreprise. Selon le syndicat, les gestionnaires ont justifié leur décision par la réception de trois plaintes d’employés qui n’auraient pas apprécié voir ces affiches annonçant la Journée internationale contre l’homophobie, lundi.
« Il y a beaucoup de grogne à l’interne. Le geste de l’employeur a suscité bien des réactions. Nous avons demandé lundi à Vidéotron de reconsidérer sa décision et d’autoriser cet affichage. Jusqu’à maintenant, ça semble être une fin de non-recevoir », a indiqué, mercredi, le conseiller syndical Bruno Tremblay, du Syndicat canadien de la fonction publique.
Mais qui est cet adorable barbu qui prend tant de plaisir à la Gay Pride de Toronto ?
Il s’agit du jeune András Király, le porte-parole du Jobbik, le parti catholique d’extrême-droite hongroise.
En nommant András Király, le Jobbik souhaitait rajeunir son image. Une réussite au-delà de toutes espérances.
Hélas pour l’ouverture et la tolérance à l’égard de la diversité sexuelle, j’apprends qu’il vient de démissionner de son poste de porte-parole du Jobbik. Une grande perte, assurément.
Joint par téléphone, l’étudiant de l’université catholique Pázmány Péter aurait déclaré “J’étais à Toronto pour étudier le phénomène. Je ne suis pas gay !”.
La tradition du pays veut aussi que pendant la période du Carnaval une messe soit célébrée à laquelle assistent tous les participants officiels et pendant laquelle le Prince Carnaval lit un texte aux fidèles. Avant cette célébration, le curé de la paroisse, l’abbé Luc Buyens, très inquiet du respect du droit canon, a appelé le Prince Carnaval pour lui signaler qu’en raison de son style de vie homosexuel ouvertement revendiqué il ne pouvait s’approcher de la Sainte Table pour y communier. Le curé, pris entre le fer (l’enfer?) du droit canon et l’enclume de la tradition, a ajouté qu’il lui donnerait simplement une bénédiction (une petite croix tracée sur le front) lorsqu’il s’approcherait de la Sainte Table le premier, comme c’est aussi l’usage. Le Prince élu protesta pendant une demi-heure au bout du fil, mais le prêtre refusa de revenir sur sa décision.
[…] Et l’affaire a effectivement fait grand bruit tant dans la presse néerlandaise que dans les milieux associatifs LGBT hollandais. L’évêché a dû intervenir pour rappeler les positions de l’Église catholique: les homosexuels sont les bienvenus dans l’Église et sont admis à la communion seulement s’ils sont repentants et ne pratiquent pas d’actes homosexuels; l’Église catholique ne juge pas les personnes homosexuelles, qu’elle respecte, mais les actes. Divorcés et homosexuels sont accueillis mais invités à s’abstenir de participer à la communion.
Tous les cathos ne sont pas des gros cons. Mais les plus tonitruants sur le Web en sont de vrais.
Donc, du côté des gros cons :
Dimanche 14 février à 14 h, des extrémistes homosexuels ont prévu de se rassembler juste devant Notre-Dame de Paris pour… s’embrasser sur la bouche durant 5 minutes.
Un lieu choisi au hasard ? Non, comme l’admet Arthur Vauthier, l’organisateur : « C’est une façon d’interpeller l’Église, de questionner la religion sur la question de l’amour et du mariage entre gays et entre lesbiennes ».
L’Église n’approuve pas les relations homosexuelles (qu’elle juge « désordonnées » et contraires au plan de Dieu pour l’homme) mais respecte et accueille toutes les personnes quel que soit leur comportement. Autant dire que ce « kiss in » contre l’homophobie devant la cathédrale de Paris est particulièrement malvenu.
Étrangement, les extrémistes de la cause homosexuelle ne se rassemblent pas devant la Grande mosquée de Paris. Or, c’est en pays musulmans (où s’applique la Charia) que sont exécutés des homosexuels !
En réalité, les initiateurs de ce rassemblement savent qu’ils ne risquent rien en se moquant des catholiques. On lit d’ailleurs dans Têtu qu’Arthur Vauthier « ne craint pas les réactions hostiles ».
10 mois et demi après les échauffourées provoquées par la distribution de préservatifs du PCF et des Verts sur le parvis Jean-Paul II suivie du “die in” d’Act-Up, ce rassemblement sonne comme une provocation. La provocation de trop.
Il nous fallait déjà supporter le harcèlement continuel des lobbies homos pour singer le mariage, s’en prendre à nos enfants dans les écoles (cf. l’affaire du Baiser de la lune) ou réduire notre liberté d’expression.
Ne laissons pas certains groupuscules prendre la mauvaise habitude de venir nous insulter devant nos églises. Ils seraient tentés de le faire ensuite dedans comme l’a déjà fait Act up.
Rendez-vous dimanche à Notre-Dame pour la messe de 12h45, de façon spontanée ou avec une association, pour répondre avec fermeté et courtoisie aux provocateurs !
On ne risque donc rien en se moquant des catholiques ? Heureux de l’apprendre. Et bien, nous n’allons pas nous priver…
Côté blogueur-catho-versaillais-UMP, dont la consanguinité n’a pas trop endommagé le capital de neurones, on est cependant beaucoup plus nuancé (évitez toutefois la lecture des commentaires qui peuvent être malodorants).
Bref, à supposer que l’on ressente autre chose que de l’indifférence polie envers l’agitation de dimanche prochain, que l’on veuille véritablement protester contre cette initiative, le mieux est encore l’ignorance, l’absence de réaction. En tout cas, n’y allez pas en pensant défendre l’Église.
Question choix de lieu, j’aurai plutôt pris le Sacré-Cœur… Rien que pour la vue.
Ah, mais… ? Que vois-je ? Ces pédés n’ont pas de couilles, et se replient sur Saint-Michel… C’est pourtant bandant de se bastonner avec du petit FAF !
Deux solutions s’offraient alors à nous : nous obstiner — la sécurité des participants aurait été mise en péril — ou annuler l’événement, cédant de ce fait à la peur face aux menaces de violence. Mais ces catholiques « traditionalistes », s’ils peuvent faire reculer le gouvernement en matière de lutte contre la discrimination à l’école en demandant l’interdiction du court-métrage « Le Baiser de la lune », pourront-ils dire également : « nous avons empêché les homosexuels de s’embrasser dans les lieux publics » ? Cela est inacceptable.
Nous choisissons donc une troisième voie, et appelons tous les participants à se replier sur un autre lieu, voisin du premier : la place Saint-Michel. Ainsi, nous serons en vue de la cathédrale, sans donner à nos détracteurs l’opportunité de nous taxer de provocateurs.
Et lorsque je lis :
Le kiss-in du 14 février à Paris était initialement prévu sur le parvis de Notre-Dame (qui est, puisqu’il faut le préciser, un lieu PUBLIC), et n’avait pas pour vocation d’agresser, ni même de provoquer l’Église et les catholiques.
… Je me dis que les organisateurs de ce “kiss-in” sont non seulement des pleutres, mais aussi des cons. (Ce qui nous fait dire que la connerie n’est pas un monopole catholique, les gays ont aussi le droit d’être idiots.)
Les parents ont la noble tâche d’être les premiers responsables de l’éducation de leurs enfants. Les enfants sont exposés à différents messages concernant la sexualité. J’ai invité une équipe chrétienne à pourvoir une réflexion et des ressources concernant la question de l’identité sexuelle de l’enfant. C’est une occasion offerte aux parents et à tout adulte intéressé, de réfléchir à cette question pour mieux voir les enjeux et mieux accompagner les enfants. Venez en grand nombre.
Le curé Christian Lépine est directeur des études au grand séminaire de Montréal. Il y donne le cours “Vie chrétienne et sexualité” qui éclaire “la moralité de certains agirs humains: masturbation, acte conjugal, régulation des naissances, relations sexuelles hors mariage (entre jeunes ou adultes) homosexualité, pédophilie”. Dans la bibliographie suggérée, nous trouverons bien entendu cette vieille enflure de Tony Anatrella. M. Lépine officie à l’église Notre-Dame-des-Champs de Repentigny.
Michel Lizotte semble être un proche de la NARTH (Association Américaine de Recherche et Thérapie de l’Homosexualité. Ainsi, on le trouve sur YouTube interrogeant Joseph Nicolosi.
Journaliste, vulgarisateur et commentateur indépendant, Michel Lizotte M.A. s’intéresse principalement aux questions éthiques et morales qui touchent l’enfant, la famille et la société canadienne. Citoyen montréalais, il participe aux débats sur les grandes tribunes médiatiques en plus de militer pour la protection des droits de l’enfant.
http://www.narth.com/docs/fr_lizotte.pdf
Michel Lizotte a écrit un livre à compte d’auteur : “L’homosexualité : les mythes et les faits”. (Un opuscule qui se trouve dans les bibliothèques des bons collèges québécois.)
J’ai appris beaucoup de choses sur moi durant cette conférence. En autre, j’ai su que j’avais fait un choix et que j’avais décidé moi-même d’être homosexuel et que si je ne m’en rappelais pas clairement, c’était sans doute que j’avais subi un traumatisme durant mon enfance. D’ailleurs sur ce point, M. Lizotte, qui utilise des métaphores aussi souvent que possible, avait dit que choisir d’être homosexuel, c’était de faire un mauvais choix de vie, tout comme une personne qui exerce un choix alimentaire. Entre le beigne et le yogourt aux pruneaux en guise de dessert, ne veut-il mieux pas choisir celui qui favorise le transit intestinal et qui contient les meilleurs ingrédients pour la santé ?
Le personnage a déjà été croisé par le journaliste Patrick Lagacé (qui adore les “nonos” et autres cinglés) en 2006 : “Michel vit en enfer”.
La pensée de Michel me parait bien résumée dans ce texte : “La tolérance, c’est suffisant !” (que le quotidien Le Devoir a accepté de publier le 15 décembre 2004).
Si vous avez le goût de “mettre le feu” à la paroisse de Notre-Dame-des-Champs le 9 novembre prochain… il y a un groupe Facebook dédié.
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P.S. L’émission “Lumière du monde” du 13 avril 2009, produite par l’église catholique du Québec met en vedette M. Michel Lizotte.
P.S. bis. Ah, zut, le lien ne fonctionne plus, nous sommes redirigés sur des jeunes qui chantent au sous-sol de l’église Saint-Thomas d’Aquin… Sympathique, mais moins croustillant… On peut retrouver la vidéo via le cache Google (pour combien de temps ?).
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Mise à jour, 11 h 30. Les conférences restantes auraient été annulées par la paroisse de Notre-Dame-des-Champs.